Président du Cap-Vert depuis 2011, il est un membre fondateur du Mouvement pour la démocratie (MPD). Né en 1950 à Mindelo, deuxième ville de l’archipel, il entame des études supérieures de droit au Portugal. Il poursuit une carrière académique à l’étranger. En 1973, il devient le directeur général de l’émigration du Cap-Vert puis secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, deux ans plus tard. Il dirige ce même ministère de 1991 à 1993.
Pour la troisième année consécutive, il n’y aura pas de lauréat du prix Mo Ibrahim. La fondation de l’homme d’affaires soudanais a également décidé d’annuler le « week-end Ibrahim de la gouvernance ». Explications.
Les Cap-Verdiens ont commencé à voter dimanche 17 octobre pour désigner leur futur président. Sept candidats tentent de succéder à Jorge Carlos Fonseca.
Le parti de centre-droit, au pouvoir depuis cinq ans au Cap-Vert, a obtenu la majorité absolue à l’Assemblée nationale à l’issue des élections législatives organisées dimanche.
Réélu dès le premier tour avec plus de 73% des voix le 2 octobre pour un second mandat de cinq ans, le président cap-verdien Jorge Carlos Fonseca a prêté serment jeudi. Pour l’occasion, trois chefs d’État d’Afrique de l’Ouest avaient fait le déplacement : Macky Sall, Ibrahim Boubacar Keïta et José Mario Vaz (Guinée-Bissau).
Le président sortant du Cap-Vert, Jorge Carlos Fonseca, a été réélu, dimanche 2 octobre, au premier tour avec près de 73 % des voix à l’issue d’un scrutin marqué par une abstention de plus de 60%, selon des chiffres officiels partiels.
Quinze ans après avoir perdu le pouvoir en 2001, le Mouvement pour la démocratie (MpD) reprend les rênes du Cap-Vert après sa victoire aux législatives du 20 mars face au PAICV, jusque là majoritaire. Son chef de file, Ulisses Correia e Silva, s’apprête donc à devenir le prochain Premier ministre de l’archipel au régime semi-parlementaire.
Selon les résultats portant sur plus de 90% des suffrages exprimés, le Mouvement pour la démocratie (MpD, libéral) de l’ancien maire de Praia Ulisses Correia e Silva remporte la majorité absolue aux élections législatives avec près de 52% des voix. Il sera donc le prochain Premier ministre de l’archipel, dont le régime semi-parlementaire accorde une place prépondérante au chef du gouvernement.
Juste avant le sommet Europe-Afrique qui se tient à La Valette aujourd’hui et demain, le président cap-verdien, Jorge Carlos Fonseca, de passage à Paris, a confié à « Jeune Afrique » ses attentes sur les questions migratoires. Il a également évoqué les enjeux liés au changement climatique, question fondamentale pour son archipel.
La troisième session de la Conférence ministérielle africaine sur la météorologie (Amcomet) s’est achevée samedi 14 février à Praia, au Cap-Vert. L’occasion de revenir sur la nécessité, pour les États africains, d’investir dans la recherche pour anticiper des phénomènes ayant de grands impacts sur les peuples et les économies du continent.
À 87 ans, Béji Caïd Essebsi se pose déjà en futur président de la République tunisienne. Blaise Compaoré, lui, vient de quitter la présidence burkinabè qu’il occupait depuis vingt-sept années. L’occasion de faire un point sur la vieillesse et le pouvoir en Afrique.
Aristides Maria Pereira, premier président de la République du Cap-Vert de 1975 à 1991, est décédé à l’âge de 87 ans jeudi à Coimbra (centre du Portugal), a-t-on appris auprès de l’ambassade de cette ancienne colonie portugaise à Lisbonne.
Battu en 2001, devancé dans les sondages, Jorge Carlos Fonseca a réussi à refaire son retard pour remporter la présidentielle cap-verdienne haut la main.
L’opposant libéral Jorge Carlos Fonseca a remporté le second tour de l’élection présidentielle de dimanche au Cap-Vert, selon des résultats presque définitifs, et succèdera au socialiste Pedro Pires à la tête de ce pays lusophone salué comme modèle de démocratie en Afrique.
Jorge Carlos Fonsesca a été élu dimanche à la présidence du Cap-Vert. Manuel Incencio Sousa, le candidat du parti au pouvoir, a immédiatement reconnu sa défaite.
Les Capverdiens sont de nouveau appelés aux urnes dimanche, deux semaines après le premier tour de l’élection présidentielle, pour choisir le successeur du président sortant, Pedro Pires, qui quitte le pouvoir après deux mandats, conformément à la Constitution.
Les résultats officiels quasi-complets du premier tour de la présidentielle du Cap-Vert, jugé transparent, sont tombés lundi. Le second tour du 21 août verra l’opposant Jorge Carlos Fonseca affronter le candidat du parti au pouvoir Manuel Inocencio Sousa.