Depuis 1979, il est président de l’Angola et à la tête du parti au pouvoir, le Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA). Né en 1942 à Sambizanga, dans le nord du pays, il obtient un diplôme d’ingénieur de pétrole en URSS. C’est en 1975 qu’il devient ministre des Relations extérieures, dès l’indépendance du pays, puis adjoint au Premier ministre en 1978. Il accède au pouvoir après la mort du d’Agostinho Neto.
Avec la retraite programmée de José Eduardo dos Santos, arrivé au pouvoir comme lui en 1979, le président équato-guinéen reste seul au sommet du podium des chefs d’État africains ayant passé le plus d’années au pouvoir.
À moins d’une semaine des élections générales, Isaías Henriques Ngola Samakuva, le candidat de l’Unita, espère convaincre les Angolais qu’il est une alternative crédible au MPLA – au pouvoir. Interview.
En Angola, le prochain président, qui succédera à Jose Eduardo dos Santos, ne sera pas élu au suffrage universel. C’est le leader du parti qui remportera les législatives du 23 août prochain qui sera chef d’État.
Au pouvoir depuis 1979, le chef de l’État a désigné son dauphin. Mais le choix de João Lourenço, ministre de la Défense, pour mener la liste des législatives du MPLA en août inquiète. A-t-il été imposé par le parti au pouvoir ou par le président lui-même ?
La campagne des élections générales du 23 août a officiellement débuté samedi en Angola avec un grand meeting de l’Unita, le principal parti d’opposition, un scrutin qui doit marquer la fin du règne du président Jose Eduardo dos Santos, au pouvoir depuis 38 ans.
Un peu plus d’un mois avant les élections, le Parlement angolais a voté une loi réduisant les pouvoirs du futur président, qui prendra la succession de José Eduardo dos Santos, au pouvoir depuis 1979. Le successeur de Dos Santos aura notamment les mains liées en ce qui concerne la désignation des responsables des services de sécurité.
Si vous cherchez un roman dans le but de vous réconcilier avec la nature humaine, passez votre chemin. Vladimiro Caposso, le héros de Prédateurs, est l’archétype du self-made-man à qui tout réussit… grâce à son degré zéro de moralité. Le livre commence d’ailleurs par une scène de meurtre, ce qui pose d’emblée le décor.
Après l’annonce faite par Corneille Nangaa, président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) de la probabilité d’un report des élections en RDC, l’opposition congolaise ne décolère pas. L’opposant Martin Fayulu, cadre du Rassemblement, revient pour Jeune Afrique sur ce que dit l’accord du 31 décembre.
Il était le témoin le plus attendu au procès des « biens mal acquis », à Paris. Des diamants sierra-léonais au pétrole angolais, des geôles zimbabwéennes à la prison de Black Beach, l’ex-mercenaire dévoile en exclusivité pour Jeune Afrique son parcours interlope.
Alors que le président angolais quittera ses fonctions en août, un projet de loi modifiant les avantages accordés aux anciens chefs d’État fait polémique.
En convalescence à Barcelone, le président angolais s’apprête à laisser le pouvoir après plus de 38 années à la tête de l’État. Face au candidat du pouvoir, l’opposition tente de profiter de cette situation inédite pour s’imposer à trois mois de la présidentielle.
L’état de santé du président angolais José Eduardo dos Santos continue d’inquiéter. L’opposition angolaise a réclamé mercredi une clarification officielle sur la condition du chef de l’État, en voyage médical à Barcelone depuis le début du mois de mai.
Le fournisseur de télévision par satellite angolais ZAP, propriété de la fille du président José Eduardo dos Santos, a interrompu ce mardi la diffusion de deux chaînes portugaises ayant diffusé récemment des reportages critiquant le régime angolais.
Un mystérieux coup d’État avorté en janvier 2016, 37 personnes mises en cause et de lourdes peines de prison requises… Le procès de putschistes présumés doit s’achever le 1er mars avec l’énoncé du verdict.
Au pouvoir depuis 37 ans, le président José Eduardo dos Santos a confirmé vendredi qu’il ne se représenterait pas à la présidence de l’Angola lors des élections d’août et qu’il cédait sa place à l’actuel ministre de la Défense, João Lourenço.
Art contemporain, José Eduardo dos Santos et sa fille, Joseph Kabila et Moïse Katumbi, Sonangol… Loin d’esquiver les questions délicates, le collectionneur Sindika Dokolo répond sans tabou à Jeune Afrique.
L’homme d’affaires et collectionneur d’art congolais Sindika Dokolo, époux d’Isabel dos Santos, la femme la plus riche d’Afrique, et donc gendre du président angolais, a accordé une interview exclusive à Jeune Afrique. Sur sa femme, comme sur les présidents angolais Eduardo dos Sandos et congolais Joseph Kabila, il parle sans tabou.
La nomination de la fille du président Jose Eduardo dos Santos à la tête de la compagnie pétrolière publique Sonangol ne passe pas : un groupe de juristes angolais, déboutés fin décembre d’un premier recours contre cette nomination ont fait appel devant la Cour constitutionnelle.
Le ministre de la Défense devrait être le futur président angolais. À condition d’éviter toute erreur pendant huit mois, jusqu’aux législatives. Son seul objectif : garder la confiance des dos Santos.
Derrière un sourire énigmatique, il cachait une poigne de fer et un art consommé de la manipulation. Sans jamais être directement élu, le président Jose Eduardo dos Santos a réussi à diriger sans partage l’Angola pendant trente-sept ans.
Le président angolais José Eduardo dos Santos, au pouvoir depuis trente-sept ans, ne sera pas candidat à un nouveau mandat à la tête du pays lors des élections générales de 2017, a annoncé vendredi soir la radio officielle.
Devant la presse, Isabel dos Santos, fille du président angolais, a défendu mercredi soir à Luanda sa nomination à la tête du conseil d’administration de la Sonangol, la compagnie pétrolière nationale. Une promotion contestée devant la justice par les opposants du régime.
Le président angolais José Eduardo dos Santos a procédé ce lundi a un mini-remaniement ministériel. Parmi les sortants : Armando Manuel, ministre des Finances depuis trois ans et demi. Le ministre de l’agriculture a également été remplacé.
Le congrès du Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA), au pouvoir depuis l’indépendance du pays en 1975, s’est ouvert mercredi 17 août à Luanda. Objectif : réélire à sa tête le président José Eduardo dos Santos en vue de l’élection législative de 2017, mais aussi faire entrer deux de ses enfants au sein du comité central du parti.
Depuis l’annonce de son retrait de la vie politique en 2018, les spéculations sur la succession du président José Eduardo « Zedú » dos Santos vont bon train.
Il arrive à l’actualité d’imposer ses exigences. Elle me conduit cette semaine à vous parler de deux personnes très différentes, sans lien aucun entre elles.
Un groupe de juristes angolais a annoncé samedi son intention de contester en justice la nomination de la fille du président dos Santos à la tête de la compagnie pétrolière publique Sonangol.
Un groupe se réclamant du collectif Anonymous a revendiqué mardi soir une série d’attaques contre les sites internet officiels angolais après la condamnation lundi de 17 opposants politiques à des peines de prison ferme.