Ébranlé par la mort de son président survenue le 1er août, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire ne compte pas pour autant passer à côté des élections du 2 septembre.
L’ancien président ivoirien s’est néanmoins dit disponible pour la présidentielle de 2025. C’était lors d’une conférence de presse organisée ce mardi, lors de laquelle il s’est également prononcé contre une intervention de la Cedeao au Niger.
Ce 2 septembre, à l’occasion des élections municipales en Côte d’Ivoire, la commune du Plateau, dans le district d’Abidjan, sera l’objet de toutes les attentions.
Club le plus populaire de Côte d’Ivoire, l’Association sportive des employés de commerce (Asec), fondée en novembre 1948 par des fonctionnaires et hommes d’affaires de différentes nationalités, a été au cœur des intrigues politiques des dernières décennies.
Dans cette interview qu’il a accordée à Jeune Afrique, le porte-parole du PPA-CI de Laurent Gbagbo revient sur l’exclusion de son mentor des listes électorales, la transparence des municipales et des régionales du 2 septembre, et les alliances de son parti avec le PDCI.
L’ancien président ivoirien s’est éteint à l’âge de 89 ans. L’épilogue d’une carrière politique bien remplie, qui l’aura vu occuper les fonctions d’ambassadeur, de maire, de ministre, de président de l’Assemblée nationale et, surtout, de chef de l’État.
C’est un monument de la politique ivoirienne qui vient de disparaître. Ce 1er août, Henri Konan Bédié s’est éteint à l’âge de 89 ans. En septembre 2019, un an avant la présidentielle, le « Sphinx de Daoukro » avait accordé un long entretien à JA, que nous republions aujourd’hui.
La grande commune populaire d’Abidjan, 1,5 million d’habitants, attise toutes les convoitises politiques. Lors des municipales du 2 septembre, Adama Bictogo, le président de l’Assemblée nationale, y défiera Michel Gbagbo, le fils de l’ancien président.
Après leur entente dans le Haut-Sassandra, le PPA-CI et le PDCI des deux anciens présidents se sont alliés dans la riche région de l’ouest ivoirien pour les élections locales du 2 septembre. Mais le candidat du RHDP semble favori.
À l’issue d’une vaste opération d’adressage lancée par le gouvernement, les rues, avenues et boulevards du district d’Abidjan ont été rebaptisés au nom de célèbres personnalités ivoiriennes.
La chaîne de télévision s’impose peu à peu comme une référence au sein du paysage audiovisuel abidjanais. Jean-Philippe Kaboré, son patron, s’appuie sur le triptyque information de proximité, économie et développement. Rencontre.
Le PDCI et le PPA-CI présenteront des candidatures communes aux élections municipales et aux régionales prévues le 2 septembre, mais s’affronteront dans certaines zones. Une situation susceptible de créer des frustrations dans le camp de Laurent Gbagbo.
La Commission électorale indépendante a annoncé mercredi avoir « exceptionnellement » repoussé au 23 juillet la date limite de dépôt des candidatures pour les élections municipales et régionales du 2 septembre.
Le vice-président du PPA-CI, Stéphane Kipré, a rejoint la liste du président sortant du conseil régional du Haut-Sassandra et candidat du PDCI, Alphonse Djédjé Mady, pour les locales du 2 septembre. Pour les autres communes et régions, les discussions entre les deux partis se poursuivent.
La justice française enquête sur les conditions du décès d’« IB », un ex-chef rebelle ivoirien tué en 2011 à Abidjan. L’ancien Premier ministre de Laurent Gbagbo et d’Alassane Ouattara fait l’objet d’une plainte pour torture et assassinat.
Accusé par la justice internationale d’avoir commis des crimes contre l’humanité lors de la crise postélectorale de 2010-2011 en Côte d’Ivoire, l’ancien ministre de la Jeunesse de Laurent Gbagbo a passé six années en détention.
L’ancien président ivoirien avait déposé un recours auprès de la CEI pour obtenir sa réintégration dans le fichier électoral. Mais selon son parti, il n’a pas obtenu gain de cause.
Le ministre ivoirien de la Promotion de la jeunesse, porte-parole adjoint du parti présidentiel et du gouvernement, explique comment se concrétise le « plan Marshall » pour la jeunesse annoncé par Alassane Ouattara. Et décrypte les enjeux des scrutins locaux du 2 septembre prochain.
Le PDCI et le PPA-CI veulent s’allier pour les élections municipales et régionales du 2 septembre. Mais des blocages persistent dans certaines zones et pourraient compromettre leur projet d’union face au RHDP d’Alassane Ouattara.
En Côte d’Ivoire, le ministre de la Promotion de la jeunesse et le vice-président exécutif du PPA-CI s’affronteront dans les urnes, le 2 septembre, pour la présidence du conseil régional. Un match décisif pour l’avenir politique de ces deux ambitieux, respectivement fidèles à Alassane Ouattara et à Laurent Gbagbo.
Les deux partis ont conclu un accord en vue des élections locales du 2 septembre. Depuis, plusieurs candidats du FPI se sont désistés en faveur de celui désigné par la majorité présidentielle.
À deux ans de la présidentielle, les scrutins régionaux et municipaux du 2 septembre promettent de beaux duels. Des affiches qui ne doivent pas faire oublier l’essentiel : la participation des citoyens au jeu démocratique.
Les éditions de la Fondation Félix-Houphouët-Boigny publient des ouvrages consacrés à la vie et aux combats de l’ancien président. En privilégiant les sujets académiques aux romans et à la poésie, la jeune maison veut inciter les étudiants à devenir des chercheurs.
L’ancien président ivoirien a déposé un recours ce 8 juin pour obtenir sa réinscription sur les listes électorales avant les locales, prévues le 2 septembre prochain.
À quelques mois des élections municipales et régionales, les partis politiques – celui de Laurent Gbagbo en tête – remettent en question la fiabilité du fichier électoral et l’impartialité de la CEI.
Le fondateur du groupe Snedai et président de l’Assemblée nationale ivoirienne revient sur l’actualité économique de la Côte d’Ivoire et de la sous-région, n’élude pas la question des élections locales et l’échéance de 2025, tout en évoquant le Sénégal et le Burkina Faso…
En Côte d’Ivoire, l’opposition dénonce la présence de personnes décédées, mineures ou déchues de leurs droits civiques sur les listes de la commission électorale, alors que Laurent Gbagbo vient d’en être radié.
Derniers scrutins avant la course à la magistrature suprême de 2025, les élections régionales et municipales du 2 septembre prochain représentent un test majeur pour les partis politiques. Et pour tous les Ivoiriens.
Nommée le 9 mai, Chantal Nanaba Camara prendra ses fonctions le 21 juillet. Tout au long de sa carrière, elle a tissé sa toile dans les sphères d’influence.