Le prochain sommet aura bien lieu en Tunisie en novembre. Et il devrait voir la reconduction à la tête de l’organisation de Louise Mushikiwabo, seule candidate à sa propre succession.
Avec 25 accords commerciaux conclus et une dizaine de projets de coopération en phase finale, l’Organisation internationale de la Francophonie fait de la langue française un actif économique.
La porte-parole de l’Organisation internationale de la Francophonie tient à répondre aux critiques concernant l’élection de son prochain secrétaire général. Laquelle est toujours prévue lors d’un sommet en présentiel à Djerba.
Déjà reporté à deux reprises, le sommet de la Francophonie, qui doit se tenir en novembre en Tunisie, fait de nouveau l’objet d’inquiétudes. En cause : des tensions politiques et diplomatiques.
Le 16 mars, l’Organisation internationale de la francophonie a adopté une résolution condamnant l’offensive de Moscou. Un quasi-consensus qui n’a pas été facile à trouver, explique la secrétaire générale de l’organisation.
Dans le concert quotidien des prises de positions depuis l’entrée le 24 février des troupes russes en Ukraine, manquait encore celle de Louise Mushikiwabo. Consciente de l’incompréhension que pourrait susciter la prolongation de ce silence, notamment auprès de certains pays membres, la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) prend la parole, en son nom. Et c’est à Jeune Afrique qu’elle a réservé la primeur de ses explications.
Son organisation en temps et en heure semblait de plus en plus compromise. Prévu en novembre sur l’île du Sud tunisien, le sommet de l’OIF a finalement été reporté d’un an. Explications.
À quelques mois du XVIIIe Sommet de la Francophonie, la cheffe de la diplomatie québécoise revient sur les priorités de la province sur la scène internationale.
À mi-mandat, et alors que l’OIF fête cette année son 50ème anniversaire en Tunisie, la secrétaire générale de l’organisation revient sur son bilan, ses projets, et répond aux critiques sur son mode de management.
La Secrétaire générale de la Francophonie appelle les entreprises privées, les citoyennes et citoyens engagés et les États à contribuer au Fonds « la Francophonie avec Elles », créé pour apporter un soutien aux femmes et filles malmenées par la crise.
L’administratrice de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) Catherine Cano a démissionné par surprise, depuis son Canada natal. Voici pourquoi.
Tensions entre l’organisation qu’elle préside et la Guinée d’Alpha Condé, remise en cause de son indépendance vis-à-vis de la France et du Rwanda…. Plus d’un an après avoir pris la tête de la Francophonie, Louise Mushikiwabo revient sur les dossiers brûlants de l’organisation et les attaques auxquelles elle fait face.
Alors que le président guinéen Alpha Condé a annoncé que le double scrutin aura lieu le 22 mars, la Cedeao, à qui l’audit du fichier électoral a été confié après le retrait de l’OIF, a choisi le chef de l’État ghanéen pour conduire la médiation à Conakry.
Après avoir invité, le 2 mars, l’Organisation internationale de la francophonie à participer à une mission d’assistance technique en Guinée, la commission électorale guinéenne a pris l’OIF de court en annulant sa mission à la veille de l’arrivée des experts à Conakry.
L’organisation internationale de la Francophonie (OIF) a fait savoir lundi qu’elle ne pouvait plus « soutenir le processus électoral » du 1er mars en l’absence d’un consensus national sur le nombre d’électeurs.
Selon nos informations, le départ du Français Nicolas Groper au poste de directeur de cabinet de la secrétaire générale de l’OIF serait dû à de vives tensions au sein de l’organisation.
La secrétaire générale de la Francophonie a officiellement changé de directeur de cabinet lundi 4 novembre. L’ancien magistrat Nicolas Groper est remplacé par Jean-Marc Berthon, le conseiller spécial du président Emmanuel Macron pour la francophonie.
Coopération économique accrue, dialogue politique renforcé, gestes symboliques forts… Emmanuel Macron a ouvert un nouveau chapitre dans les relations entre Paris et le continent.
Un an après son élection à la tête de la Francophonie, Louise Mushikiwabo veut « moderniser » une organisation qui se débat pour peser dans le jeu diplomatique. Un effort qui n’est pas sans provoquer quelques crispations.
Le président français Jacques Chirac est décédé jeudi 26 septembre à l’âge de 86 ans. En Afrique, l’annonce de sa mort a provoqué une pluie d’hommages pour celui qui a entretenu pendant plus de soixante ans une relation aussi riche que contradictoire avec le continent et ses chefs d’État.
Élue en 2018 à la tête de l’OIF, Louise Mushikiwabo, l’ancienne ministre rwandaise des Affaires étrangères, s’est entourée d’une équipe resserrée pour donner un nouvel élan à l’organisation et lui imposer sa marque.
Secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) depuis six mois, l’ex-ministre rwandaise des Affaires étrangères a choisi une équipe paritaire, soucieuse de sa communication, soutenue par Paris… et par Kigali.
Trois grandes recommandations ont été tirées à l’issue de la conférence internationale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), dans la capitale tchadienne, sur l’éducation des filles et la formation des femmes. Sur le continent, les pays qui ont lancé cet « appel de N’Djamena » affichent en la matière des palmarès contrastés.
Pour le deuxième jour de sa visite en France, Andry Rajoelina a été reçu à l’Élysée par Emmanuel Macron. Parmi les sujets de coopération bilatérale, les deux présidents ont abordé l’épineuse question des îles Éparses, dont Madagascar réclame la restitution depuis plusieurs années, et annoncé la formation d’une commission pour parvenir à une solution d’ici à 2020.
Du génocide des Tutsi aux relations avec la France, du contentieux avec l’Ouganda à l’élection présidentielle en RDC, le chef de l’État Paul Kagame n’a éludé aucune question (ou presque). Interview exclusive.
Notre langue française à nous Africains, qui sommes fiers de nos langues maternelles ou nationales, qui parlons aussi d’autres langues internationales ou transfrontalières, comme l’anglais, l’arabe, le swahili, le mandingue, le fulfulde… est une langue désormais vécue sans tabous et intégrée à la riche diversité culturelle qui nous caractérise.
La secrétaire générale sortante de la Francophonie, Michaëlle Jean, qui cédera à la fin de l’année son poste à Louise Mushikiwabo, a fait ses adieux aux membres de son cabinet, qui seront en congé dès le 31 décembre. Michaëlle Jean, elle, prendra d’abord « du repos ».
Alors que l’une de ses éminentes ressortissantes vient de prendre la tête de la Francophonie, la question lui est posée sans relâche : le Rwanda est-il anglophone ou francophone ? Et s’il n’était ni l’un ni l’autre, et bien plus à la fois ?