Mahmoud Abbas est le président de l’État de Palestine, et le Secrétaire général de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP). Né le 26 mars 1935 à Safed, il entame après des études d’Histoire à Moscou une carrière de militant palestinien aux côtés notamment de Yasser Arafat. Membre actif de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP), il en devient le Secrétaire général en 1996. Le 19 mars 2003, il devient premier ministre de l’Autorité palestinienne, jusqu’au 7 octobre 2003, après sa démission. Il remporte par la suite l’élection présidentielle le 9 janvier 2005, sous l’étiquette du Fatah.
Après dix ans de règne chaotique à Gaza, le Hamas renonce à l’exercice du pouvoir et prône désormais la réconciliation avec le Fatah. Poker menteur ou volonté réelle d’apaisement ?
Devant l’Assemblée générale des Nations unies à New York, le président palestinien Mahmoud Abbas a demandé mercredi la fin de « l’apartheid » imposé selon lui par Israël aux Palestiniens, et qui risque de conduire à l’échec de la « solution à deux États ».
Dix ans après avoir fui Gaza tombé sous la coupe du Hamas, l’ancien chef de la sécurité du Fatah, Mohammed Dahlan, pourrait revenir diriger le territoire. Son atout ? Sa proximité avec certaines puissances arabes de la région.
Près de 1 700 prisonniers palestiniens se montrent solidaires du mouvement de grève de la faim lancé mi-avril par Marouane Barghouti. La popularité de l’ancien chef du Fatah en inquiète plus d’un.
Les membres de l’organisation relancent le plan de paix proposé par feu le roi saoudien Abdallah Ibn Abdelaziz en 2002 pour régler le conflit israélo-palestinien.
Le président de l’Autorité palestinienne a été reconduit sans surprise à la tête du Fatah. Mais même s’il est débarrassé – temporairement – de ses opposants, sa succession reste un dossier brûlant.
À 81 ans, le président de l’Autorité palestinienne et de l’Organisation de libération de la Palestine a été reconduit mardi à la tête du Fatah, le parti de Yasser Arafat et principale formation politique palestinienne. Deux tiers des Palestiniens souhaitent pourtant son départ.
La victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle pourrait bien se traduire par une politique américaine plus favorable qu’auparavant à Israël, selon les experts. Même si tous rappellent que l’homme est « imprévisible ».
Même s’il avait annoncé sa venue la veille, le président de l’Autorité palestinienne peut être considéré comme l’invité surprise des funérailles de Shimon Peres, vendredi septembre.
Le président palestinien Mahmoud Abbas a présenté samedi sa démission du poste de président du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (CEOLP), de même que plus de la moitié des 18 membres de cette instance, a indiqué un responsable à l’AFP.
Le président palestinien Mahmoud Abbas a été qualifié par le pape d' »ange de paix ». François s’exprimait lors d’une rencontre entre les deux hommes samedi au Vatican, à la veille de la canonisation de deux religieuses palestiniennes.
Plusieurs milliers de personnes ont défilé dimanche dans les rues de Tunis « contre le terrorisme », après l’attentat qui a touché le musée du Bardo, le 18 mars. Parmi elles, des dirigeants politiques et des chefs d’État étrangers, dont le président français François Hollande.
L’organisation de la libération de la Palestine (OLP), un organe-clé de la direction palestinienne, a réclamé jeudi 5 mars la fin de la coopération sécuritaire avec Israël. Mais le président Mahmoud Abbas hésite encore à mettre en application une disposition qui pourrait définitivement entraver le processus de paix.
Ignoré par Tel-Aviv, décrédibilisé aux yeux de son peuple, le président de l’Autorité palestinienne tente vaille que vaille de sauver la face. Mais la question de sa succession se pose plus que jamais.
Le 24e sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africain (UA) s’est ouvert ce vendredi matin à Addis-Abeba. Un de ses objectifs annoncé est la concrétisation d’une force multinationale contre Boko Haram.
Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, est attendu vendredi à Addis-Abeba pour l’ouverture du sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine.
La communauté internationale va tenter dimanche au Caire de réunir quatre milliards de dollars réclamés par l’Autorité palestinienne pour la reconstruction de la bande de Gaza, alors que Washington appelle à relancer le processus de paix.
Après la mort d’au moins 43 Palestiniens, en 48 heures, causée par les raids israéliens, le président palestinien Mahmoud Abbas a accusé, mercredi, l’État hébreux de commettre un génocide dans la bande de Gaza. De son côté Le Caire a appelé les deux camps à cesser violences.
Le 23e sommet de l’Union africaine (UA) s’est ouvert jeudi dans la matinée. Durant la cérémonie, plusieurs dirigeants se sont succédé à la tribune de l’UA à Malabo en Guinée équatoriale. Si « Agriculture et sécurité alimentaire » est le thème officiel du sommet, c’est bien le terrorisme et les menaces sécuritaires qui préoccupent les chefs d’État africains.
Le président palestinien Mahmoud Abbas a promis samedi que le prochain gouvernement d’union avec le Hamas rejetterait la violence, répondant aux vœux de la communauté internationale, mais a réaffirmé qu’il ne reconnaîtrait jamais Israël comme État juif.
L’État d’Israël a décidé jeudi de geler le transfert des taxes aux Palestiniens. De nouvelles sanctions économiques qui interviennent après la demande de la Palestine d’adhésion à 15 conventions et traités internationaux.
Barack Obama a appelé le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à prendre des « risques » pour la paix, en le recevant lundi à la Maison Blanche. En Cisjordanie, des milliers de Palestiniens ont manifesté dans plusieurs villes pour soutenir leur président.
Le 29 novembre 2012, la Palestine accédait au statut d’État observateur non membre à l’ONU. Une « journée historique », s’enthousiasmait alors le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, saluant une nouvelle donne en matière de diplomatie. Un an plus tard, qu’a fait la Palestine de cette première année ?
Lors d’un vote historique à l’Assemblée générale de l’ONU, jeudi 29 novembre, la Palestine est devenue un État observateur aux Nations unies. La nouvelle, qualifiée d’ « acte de naissance » par le président de l’autorité palestinienne Mahmoud Abbas a été accueillie par une explosion de joie à Ramallah.
Le président tunisien Moncef Marzouki et son homologue palestinien Mahmoud Abbas, arrivé samedi à Tunis pour une visite de quatre jours, ont discuté de la « réconciliation palestinienne », selon M. Abbas.
Après deux mois de tergiversations, le président palestinien Mahmoud Abbas a envoyé au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu une lettre de doléances, et anticipant une réponse négative, s’apprête à retourner devant l’ONU.