Recep Tayyip Erdogan est l’actuel président de la République de Turquie. Né le 26 février 1954, il entame une carrière politique en 1994 lorsqu’il devient maire de sa ville de naissance, Istanbul. En 1998, il est arrêté et perd donc son mandat pour avoir lu un poème du nationaliste turc Ziya Gokalp. En 2001, à sa sortie de prison, il fonde l’AKP. Il devient Premier ministre en mars 2003, jusqu’au 10 août 2014, jour de sa victoire à l’élection présidentielle, où il récolte 51 % des voix devançant notamment Ekmeleddin İhsanoğlu.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan pourrait rencontrer le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohamed Ben Salman, en marge du sommet du G20, prévu du 30 au 1er décembre en Argentine. Il s’agirait de leur première rencontre depuis le début de l’affaire Khashoggi.
Avant les révélations de la presse turque sur l’affaire Jamal Khashoggi, le prince héritier Mohamed Ben Salman (MBS) incarnait l’ouverture à la modernité du régime saoudien.
Le procureur turc estime que le journaliste saoudien Jamal Khashoggi, disparu il y a près d’un mois après une visite au consulat saoudien d’Istanbul, a été tué par « strangulation » dès son arrivée sur les lieux. Son corps aurait ensuite été « démembré ».
Alors que l’enquête turque sur la mort de Jamal Khashoggi se poursuit, Ankara maintient l’attention publique depuis près d’un mois en diffusant chaque jour de nouvelles informations par l’intermédiaire de la presse locale et américaine. Et le président Recep Tayyip Erdogan en sort renforcé.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé mardi 23 octobre que toutes les personnes impliquées dans le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, y compris les commanditaires, devaient être punies.
La Turquie va révéler « toute la vérité » sur le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi à Istanbul, a promis dimanche son président Recep Tayyip Erdogan. De son côté, Ryad a assuré ignorer le « détail » des circonstances de sa mort, comme l’endroit où se trouve son corps.
Les révélations, rumeurs et « fake news » se succèdent dans « l’affaire Khashoggi », du nom de ce journaliste saoudien porté disparu depuis le 4 octobre après avoir franchi le seuil du consulat d’Arabie saoudite à Istanbul.
Échanges économiques, éducation, culture… Ces personnalités promeuvent le soft power de la Turquie en Afrique. Objectif : effacer toute trace de l’organisation de Fethullah Gülen et appuyer la diplomatie très active du chef de l’État.
Les Weah vont organiser leur premier dîner de gala, Angela Merkel bientôt à Alger, de nouvelles ambassades entre la Turquie et le Bénin… Chaque semaine, Jeune Afrique vous dévoile les coulisses du pouvoir. Plongée dans les secrets des chefs d’État et de leur premier cercle.
Le 10 août, les autorités guinéennes ont signé une concession avec le groupe turc Albayrak pour la gestion d’une partie du port de Conakry. Si le gouvernement justifie le recours à un accord de gré à gré par l’urgence d’améliorer le fonctionnement du port, le syndicat des dockers dénonce l’opacité des conditions d’attribution du contrat et a initié un mouvement de grève.
Engagé dans un bras de fer diplomatique avec Donald Trump, Recep Tayyip Erdogan joue la carte de l’ouverture. Son parti, l’AKP, a invité plus de 400 personnalités étrangères à son congrès, le 18 août à Ankara. Alpha Condé, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo et Mohamed Farmajo y sont notamment attendus.
Le chef de l’État turc est annoncé au sommet des Brics, du 25 au 27 juillet, à Johannesburg, le rapprochement entre Luanda et Rabat se confirme, Roi Rosenblit prendra ses fonctions d’ambassadeur d’Israël à Dakar début août… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
Carlos Lopes discutera en septembre du partenariat UA-UE, les dix chefs d’État africains à la cérémonie d’investiture du président Erdogan, Béatrice Le Fraper Du Hellen nommée ambassadrice de France en Libyen… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
Il y a deux ans, le 23 juin 2016, les électeurs britanniques ont voté la sortie de leur pays de l’Union européenne. On a donné à cet acte de rupture le nom de Brexit.
Le chef de l’État turc, Recep Tayyip Erdogan, a été réélu dès le premier tour dimanche pour un nouveau mandat aux pouvoirs renforcés, venant à bout d’une opposition pourtant revigorée lors d’élections présidentielle et législatives âprement disputées.
Chargée de reprendre le contrôle des écoles affiliées au mouvement Gülen, dont les fermetures ont été souhaitées par le président Erdogan, la fondation Maarif, créée juste avant le putsch de 2016, a depuis mis en place de nouveaux établissements. Son président, Birol Akgün, revient sur les objectifs en Afrique.
À quelques jours des élections législatives et du premier tour de la présidentielle, le 24 juin, l’économiste et politologue franco-turc Ahmet Insel décrypte les enjeux de cette échéance pour Recep Tayyip Erdogan.
Le président turc se plait à emprunter des airs au sultan Abdülhamid II. Mais, pas plus que le traditionalisme n’est la tradition, le néo-ottomanisme n’est l’Empire ottoman.
Trois ressortissants turcs liés à Fethullah Gülen, accusés par Ankara d’« appartenance à une organisation terroriste », ont été renvoyés en Turquie dans la nuit du 7 au 8 avril, après avoir été arrêtés à Libreville par les autorités gabonaises. Retour sur cette exfiltration.
L’escalade verbale entre Tel-Aviv et Ankara après le massacre par l’armée israélienne de 18 Palestiniens qui manifestaient pacifiquement à Gaza, le 30 mars, est significative de l’état du dialogue dans la région. Le Moyen-Orient aurait-il depuis atteint son point Godwin ?
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé dimanche Benjamin Netanyahou d’être « un terroriste » après que le Premier ministre israélien a rejeté les « leçons de morale » de la Turquie à propos des affrontements meurtriers qui ont eu lieu vendredi entre Gaza et Israël.
Recep Tayyip Erdogan a terminé le 2 mars dernier une tournée africaine particulièrement chargée, en visitant pas moins de quatre pays : l’Algérie, le Sénégal, la Mauritanie et le Mali. De quoi placer un peu plus les pions turcs en Afrique, continent sur lequel le pays est déjà bien présent.
Serdar Belentepe, consul général de la République de Turquie à Alexandrie, a souhaité répondre à l’édito de Béchir Ben Yahmed intitulé « Turquie-Égypte : les graves reculs de la démocratie », paru dans Jeune Afrique le 4 février. Voici son texte.
Si le président turc Recep Tayyip Erdogan ne passera pas en Guinée durant sa tournée africaine, qui s’achève ce vendredi, les Guinéens s’inspirent de plus en plus de la mode turque. Les programmes immobiliers sont ainsi en plein boom sur la presqu’île de Kaloum, en Guinée, avec, pour le résidentiel, une présence de plus en plus remarquée des promoteurs turcs.
La lutte contre les « Écoles Gülen », du nom de l’imam accusé par les autorités turques d’avoir fomenté le coup d’État de juillet 2016, figure en tête de l’agenda de Recep Tayyip Erdogan, actuellement en tournée en Afrique du Nord et de l’Ouest. Cemalettin Kani Torun, député AKP (parti au pouvoir), se félicite de voir que « les responsables africains se montrent coopératifs ».
De passage en Algérie lundi, avant de se rendre Mauritanie où il a promis une contribution turque de 5 millions de dollars pour la force antiterroriste du G5 Sahel, le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est fixé jeudi pour objectif à Dakar de pratiquement doubler les échanges commerciaux entre la Turquie et le Sénégal.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a commencé sa tournée africaine ce lundi par l’Algérie, son premier partenaire commercial sur le continent. Au menu, une rencontre avec son homologue algérien et la signature d’accords de coopération. En revanche, l’inauguration de la mosquée Ketchaoua, présentée comme un point culminant de la visite, a été annulée.
Après Alger et Nouakchott, le président turc Recep Tayyip Erdogan devrait arriver ce mercredi soir à Dakar, dans le cadre de sa tournée africaine, prévue du 26 février au 2 mars. Fermeture des écoles Gülen, diplomatie économique… Focus sur les enjeux de cette tournée africaine.
Le désenchantement est aujourd’hui de mise sur les cinq continents, où de nouvelles dictatures apparaissent et où les démocraties vont mal, notamment en Turquie et en Égypte.
Séduites par son programme d’infrastructures et ses bonnes perspectives économiques, les entreprises turques renforcent leur présence au pays de la Teranga, où le président turc Recep Tayyip Erdogan est arrivé mercredi soir, après avoir visité Alger et Nouakchott, dans le cadre de sa tournée africaine.