Les équipes algeroises du cabinet d’avocats français s’associent à celles du cabinet Silini, Baghdadi & Bentoumi, l’un des plus connus de la place. Au total, une quarantaine d’avocats sont réunis sous la bannière LPA & SHBC.
La Guinée a obtenu l’annulation d’une sentence arbitrale la condamnant à dédommager la filiale de Necotrans pour lui avoir retiré la concession d’un terminal à conteneurs. Le motif – une sombre histoire de paiement des arbitres – suscite la plus vive polémique entre juristes.
La Guinée vient de remporter une victoire dans le cadre d’une procédure entamée devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (Cirdi), tribunal arbitral dépendant de la Banque mondiale.
Pour la quatrième année consécutive, J.A. dresse la liste des avocats qui ont marqué l’actualité économique en Afrique francophone ces douze derniers mois.
À Abidjan, Londres et Lomé, des dizaines de juristes travaillent depuis plus d’un an sur le conflit qui oppose le groupe bancaire panafricain Ecobank à son ancien directeur général.
Les ordres professionnels des pays membres de l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires ont créé début décembre la Conférence des barreaux Ohada. 40 000 avocats seraient concernés.
Le cabinet d’avocats et ses partenaires au Cameroun, en Côte d’Ivoire, au Niger, au Mali et au Togo entendent développer le droit de la santé en Afrique francophone.
Selon une étude du Boston Consulting Group, si les revenus des multinationales en Afrique ont progressé, dans de nombreux secteurs, leurs parts de marché ont baissé devant la percée des entreprises africaines.
Dans la capitale économique de l’Afrique du Sud, le cabinet d’avocats rassemble une équipe à vocation panafricaine, avec deux pointures du droit des affaires recrutées chez Webber Wentzel et des avocats francophones venus d’Europe.
Trois mois après la polémique occasionnée par la participation d’avocats parisiens, à la création d’un « barreau » Ohada, une série de rencontres s’annoncent en Afrique entre praticiens de Paris et du continent.
Samna Soumana Daouda, bâtonnier de l’Ordre des avocats du Niger, réagit à la vive polémique qui agite les avocats africains depuis une dizaine de jours. Et plaide pour la création d’une conférence des barreaux Ohada, sans ingérence extérieure.
Depuis quelques jours, les avocats africains s’enflamment. L’objet de leur courroux ? Une initiative accompagnée par l’ordre des avocats de Paris. Explications.
Le bâtonnier de l’Ordre des avocats de Paris, qui devait présenter hier un projet de création de barreau devant le Conseil des ministres de l’Ohada, y a renoncé devant la pression. Il s’explique.
Destiné à une belle carrière dans la Silicon Valley, ce Camerounais a finalement choisi l’Afrique. Consultant pour le cabinet américain, il accompagne les leaders d’aujourd’hui et de demain.
Fidal, le premier cabinet d’avocats d’affaires français, a finalisé son alliance avec Bilé-Aka, Brizoua-Bi & Associés, l’un des plus importants cabinets ivoiriens, a appris « Jeune Afrique ».
Le cabinet français Mazars a bouclé le rachat de l’agence marocaine Global Intelligence Partners (GIP), d’Abdelmalek Alaoui, a appris « Jeune Afrique ».
Face aux nouveaux défis apportés par la révolution, cette figure locale du droit, spécialisée dans l’accompagnement d’investisseurs étrangers, a dû diversifier son expertise.
Pour la troisième année consécutive, « Jeune Afrique » dresse la liste des avocats d’affaires qui ont marqué l’actualité économique récente en Afrique francophone.
Limitant leurs implantations directes à quelques pays, les grandes firmes mondiales d’avocats d’affaires développent des relations privilégiées avec des cabinets locaux. Mais certaines l’affichent plus clairement que d’autres.
Le projet de barrage hydroélectrique Inga III en RD Congo est l’objet depuis quelques mois de vives tensions entre les différentes parties prenantes au sujet des honoraires perçus par les conseillers juridiques, financiers et techniques.