Le nouveau président sénégalais poursuit sa tournée diplomatique et sera, le 7 mai, à Abidjan. Il fera ainsi connaissance avec son homologue ivoirien, Alassane Ouattara.
Alors que la situation militaire continue de se dégrader dans le Nord-Kivu, les présidents congolais et français ont longuement échangé sur les ressorts diplomatiques à même de faciliter une sortie de crise. Coulisses.
Entre le président de la transition malienne et le chef d’État mauritanien, les tensions n’ont jamais été aussi fortes. Peuvent-ils éviter que la situation ne s’envenime davantage ?
Le président sénégalais a défendu un partenariat « rénové » avec l’Union européenne (UE) lors d’une déclaration conjointe avec le président du Conseil européen, Charles Michel, en visite au Sénégal.
Cette visite survient deux semaines après que la Mauritanie a accusé l’armée malienne et ses alliés russes du groupe Wagner d’avoir poursuivi en territoire mauritanien des hommes armés et d’avoir tué des civils.
De passage à Paris pour participer à une conférence sur le Soudan, le ministre des Affaires étrangères djiboutien est passé par Jeune Afrique pour officialiser sa candidature à la présidence de la Commission de l’Union africaine en février 2025.
À Lomé depuis le 15 avril en « mission d’information », les envoyés d’Omar Alieu Touray ont rencontré toutes les parties engagées dans le processus électoral, y compris les opposants à la révision constitutionnelle. Mais pas, jusqu’à ce jour, le président Faure Essozimna Gnassingbé.
Lors d’une rencontre à l’Élysée, les présidents centrafricain et français ont adopté une « feuille de route » pour un « partenariat constructif » et une relance des relations entre les deux pays.
La démission fracassante d’Abdoulaye Bathily acte l’échec des efforts de réconciliation entre dirigeants libyens, qu’il a ouvertement accusés de pérenniser la division du pays dans leur propre intérêt.
Le nouveau président sénégalais s’apprête à se rendre chez son homologue Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, avec qui il abordera plusieurs dossiers liant leurs deux pays.
Selon les informations de Jeune Afrique, le diplomate sénégalais a présenté sa démission le 15 avril au secrétaire général des Nations unies, António Guterres. Il était la huitième personnalité à occuper ce poste depuis la chute de Kadhafi en 2011.
Lors de sa rencontre avec le chef de l’État ivoirien, prévue le 11 avril, le président de la transition gabonaise va mettre plusieurs dossiers sur la table. Coulisses.
Le président mauritanien, désormais à la tête de l’Union africaine, apporte son appui à l’Angolais João Lourenço dans sa mission de bons offices entre le Rwanda et la RDC.
En fonction depuis 2017, le Tchadien quittera la présidence de la Commission de l’Union africaine au début de 2025, aiguisant les ambitions de certains. Tour d’horizon des principaux prétendants qui attendent encore le parrainage de leurs pays respectifs pour officialiser leur candidature.
L’historien français Vincent Duclert, qui a présidé une commission ayant rendu un rapport historique sur les responsabilités de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda, estime que les déclarations d’Emmanuel Macron dimanche constituent « une nouvelle avancée ».
Niamey avait convoqué mercredi l’ambassadeur d’Algérie pour protester contre « le caractère violent » des opérations de refoulement de milliers de migrants ouest-africains par l’Algérie vers le Niger.
Le président sud-africain, qui a déployé des troupes dans l’est de la RDC face aux rebelles du M23, prendra part aux commémorations organisées à Kigali. Il pourrait aussi s’entretenir avec Paul Kagame.
Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a déclaré que le dossier d’expropriation, venu envenimer une fois de plus les relations entre l’Algérie et le Maroc, était clos. Comment est-on passé de la crise à l’apaisement ? Éléments de réponse.
Frappes israéliennes dans le Sud, difficultés à acheminer de l’aide, système de santé anéanti… Les pressions internationales en faveur d’un cessez-le-feu se font plus insistantes.
Le chef de la junte nigérienne, Abdourahamane Tiani, s’est entretenu mardi 26 mars au téléphone avec le président russe, Vladimir Poutine. Objectif : renforcer de nouveau les liens sécuritaires.
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a qualifié l’ONU d’« organisation anti-israélienne », après la visite en bordure de la bande de Gaza du secrétaire général António Guterres, qui a appelé à un « cessez-le-feu humanitaire immédiat ».
En visite en France, le président ivoirien va notamment évoquer les dossiers sécuritaires avec son homologue français. Depuis la série de coups d’État au Sahel, Paris a été contraint de revoir son dispositif militaire sur le continent.
Essa Kayd Mahamoud, le ministre des Affaires étrangères du Somaliland, était à Londres et Paris afin de plaider la cause de la République autoproclamée. Du cabinet de James Cameron au Quai d’Orsay, voici le récit d’un intense lobbying.
Niamey a dénoncé ce 16 mars l’accord de coopération qui liait le Niger aux États-Unis. Une décision souverainiste, populiste… Et logique au regard de l’évolution des rapports diplomatiques ces derniers mois.
À Niamey, la junte du général Abdourahamane Tiani a dénoncé « avec effet immédiat » un accord de coopération militaire signé avec les États-Unis en juillet 2012.
Le chef de la diplomatie italienne, Antonio Tajani, revient pour Jeune Afrique sur les relations que son pays entretient avec le continent, au moment où la présidente du Conseil, Giorgia Meloni, redessine les contours de la politique extérieure de son pays.
Après les Français, les militaires américains vont à leur tour être chassés du Niger. Niamey a dénoncé le samedi 16 mars « avec effet immédiat » l’accord de coopération militaire passé avec les États-Unis en 2012, affirmant que la présence américaine était désormais « illégale ».
La présidente du Conseil italien a dévoilé fin janvier son « plan Mattei » à destination du continent. Présenté comme un vaste programme d’investissement, il doit surtout mettre un frein aux flux migratoires africains.