Le tout premier sommet réunissant les 450 banques publiques de développement de la planète a fait un geste modeste face aux « milliers de milliards » de besoins en Afrique. Il pose cependant les jalons d’une démarche collective nouvelle et prometteuse pour le continent. Explications.
L’ex-patron de Credit Suisse vient d’être nommé président du conseil d’administration du Rwanda Finance Limited, l’agence gouvernementale chargée du développement et de la promotion du Kigali International Financial Centre (KIFC).
En plus de l’apport de liquidités aux entreprises, les Institutions de développement ne doivent pas perdre de vue les défis de long terme, estime cette directrice adjointe des investissements au sein du britannique CDC.
Depuis 2013, le holding bancaire qui se rêvait leader au sud du Sahara a multiplié les faux pas. Son parcours, entre infortune et erreurs stratégiques, est un avertissement pour les aventuriers de la banque en Afrique.
La crise sanitaire a conforté la stratégie d’Axa sur le continent, dans la santé en particulier, assure le dirigeant du géant mondial, qui n’exclut par des partenariats avec des acteurs africains.
Aux commandes de la banque panafricaine depuis cinq ans, le Nigérian appréhende la crise liée au Covid-19 comme le meilleur moyen d’accélérer l’innovation technologique.
Coronavirus, digitalisation des banques, fermeture de la frontière avec le Nigeria… Rencontre avec le président de la Banque internationale pour l’industrie et le commerce (BIIC) du Bénin.
Face aux exigences de l’après-Covid, le patron historique du groupe panafricain adapte sa stratégie, au cœur de laquelle se trouve la RDC, future filiale phare du réseau.
Manque de transparence, incertitudes politiques et contraintes réglementaires redoublées ont conduit au rejet d’une transaction historique dans la finance ouest-africaine. L’analyse de Jeune Afrique.
La crise du Covid-19 force les banques à évaluer leurs risques de crédit sur une base très incertaine. Décryptage avec Ismail Douiri, DG délégué de Attijariwafa Bank.
L’intégration des trois banques acquises fin 2019 par la Banque centrale populaire met plus de temps que prévu à booster la part subsaharienne des revenus du groupe. Le décryptage de Jeune Afrique.
La belle reprise de 2019 des assureurs – dont le classement JA reste dominé par les sud-africains Sanlam, Indequity Group et Old Mutual – va se briser sur la crise sanitaire dans un secteur où les règles prudentielles pénalisent les plus petits acteurs.
En quête de valeurs où placer leurs fonds, dans un continent ébranlé par la crise sanitaire, les capital-investisseurs africains se sont tournés vers les secteurs résilients.
Après une année de franc redémarrage et de regain d’optimisme, l’élan des banques africaines – dominées par Standard Bank, FirstRand et National Bank of Egypt – a été stoppé net par la crise sanitaire, augurant de lendemains difficiles pour le secteur bancaire.
Six réseaux de microfinance lancent à partir de Ouagadougou un dispositif commun de transactions financières devant permettre à plus de 4,5 millions de clients d’opérer en temps réel dans 800 points de vente.
En concluant un partenariat stratégique à 100 millions de dollars avec Jubilee Holdings, le géant allemand des assurances expose clairement sa stratégie : la priorité est désormais donnée à l’est du continent.
Alors que les besoins en fonds propres brident le développement de son portefeuille de crédits depuis des années, la banque va aussi être amputée de certains de ses revenus par la crise du Covid.
Alors que la justice sud-africaine doit déterminer si les pertes liées au confinement sont une conséquence directe de la pandémie, le réassureur Swiss Re prévient que les montants en jeu dépassent les capacités des acteurs du secteur.
En réponse à la crise du Covid, les banques africaines ont développé leur offre de services en ligne. Un mouvement synonyme d’opportunités mais aussi de défis.
Le patron sortant de l’IFC, filiale de la Banque mondiale dédiée au secteur privé, appelle les États à maintenir les réformes pour améliorer le climat des affaires, malgré la crise du coronavirus.
Après la nomination de deux co-PDG pour le Moyen-Orient et l’Afrique en septembre, la principale banque allemande lorgne le marché éthiopien, malgré des fragilités structurelles.
Déterminée à « faire émerger des champions nationaux et régionaux », la Sénégalaise, ex-numéro 2 d’Ecobank, prend la tête du conseil d’administration de la société de gestion et d’intermédiation CGF Bourse.
Deux ans après avoir jeté son dévolu sur le marocain Saham Finances, le géant sud-africain Sanlam tarde à tirer le meilleur parti de cette acquisition. Mais sa direction reste optimiste.
Des ONG et neuf militants soudanais accusent la banque d’avoir contribué à maintenir en place le régime d’Omar el-Béchir et pointe sa responsabilité dans les crimes commis au Darfour.
Si un nombre restreint d’acteurs s’est lancé dans les green bonds, comme les marocains Bank of Africa et BCP, le succès des souscriptions vertes ne se dément pas sur le continent.
Sans directeur général pendant dix-huit mois, le principal gestionnaire d’actifs du continent compte sur son nouveau patron, Abel Sithole, pour redorer son blason et définir une nouvelle stratégie.
Portée par la digitalisation et le soutien des bailleurs de fonds, l’empreinte de ces établissements publics dévolus au financement d’un secteur clé pourrait s’étendre partout sur le continent.
Mené par le patron de BGFI, Henri-Claude Oyima, un groupe d’institutions financières mobilise près de 500 millions d’euros pour régler une partie des arriérés de l’État congolais.
Tope Lawani et Babatunde Soyoye, à la tête de la société d’investissement Helios Investment Partners, ont partagé lors d’une conférence aux investisseurs leur vision des pays ciblés dans le cadre de leur nouveau partenariat avec le canadien Fairfax.