La société d’assurances négocie un tournant bancaire et compte bien s’imposer parmi les géants du secteur en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale.
Approuvé par l’exécutif, le rachat du groupe par la caisse ivoirienne de retraite diversifie le portefeuille de celle-ci et repositionne l’État sur un segment où il était peu présent.
L’établissement bancaire contribue au financement en amont de certains programmes d’investissements exécutés par d’autres banques. Des interventions destinées à influencer les équilibres monétaires et macroéconomiques, comme le font les banques centrales.
En 2018, le nombre d’opérations a baissé sur les Bourses du continent, qui peinent à attirer de nouveaux émetteurs. La Tanzanie, le Zimbabwe et la Tunisie font figure d’exceptions notables.
L’agence de notation financière américaine vient de revoir à la baisse la perspective des banques africaines pour l’année 2020, de stable à négative, en raison de la dégradation des conditions d’exploitation et de la pression croissante exercée sur la qualité de leurs actifs.
Anticipant l’ouverture du système bancaire éthiopien à la concurrence étrangère, finalement ratifiée cette année, la cinquième plus grande banque du pays a consolidé ses fondements et amélioré sa profitabilité.
Le fils de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos comparaît depuis lundi devant un tribunal de Luanda pour des faits de corruption, le tout premier procès visant un membre de la famille de l’ex-maître absolu du pays.
La feuille de route ambitieuse de ce spécialiste du transfert d’argent, qui se prépare à se lancer à l’international, a su attirer un investisseur de poids, alors même que de chaque côté on se projette vers les pays d’Afrique subsaharienne.
Centralien et financier, Julien Lefilleur a créé Enexus afin d’accompagner les entreprises présentes en Afrique dans leurs opérations d’acquisition, de vente ou de levée de fonds. Il était le Grand Invité de l’économie RFI-Jeune Afrique vendredi 6 décembre sur RFI, à 12 h 10 heure de Paris, 10 h 10 TU.
Pour son quinzième réapprovisionnement depuis sa création en 1972, le Fonds africain de développement (FAD) vient de rassembler trente-deux pays donateurs, pour soutenir des projets de développement dans les pays les plus pauvres du continent.
Le géant pétrolier saoudien Aramco est parvenu à lever 25,6 milliards de dollar pour ce qui va devenir la plus grosse introduction en Bourse de l’histoire.
Des taux d’intérêt en baisse, des échéances plus lointaines, des émetteurs toujours plus nombreux… Le marché international de la dette obligataire séduit les États africains.
Après le désengagement de Barclays, la banque sud-africaine Absa Bank peine à dessiner un projet commercial dans un contexte concurrentiel et économique tendu.
Le groupe financier burkinabè est désormais présent dans sept pays d’Afrique de l’Ouest, après voir lancé lundi 2 décembre les activités de sa filiale nigérienne. En ligne de mire, le financement des PME et des acteurs du secteur informel, qui représente près de 40 % du PIB du pays.
Les plus grandes Bourses du continent se préparent à s’associer comme jamais auparavant via l’African Exchanges Linkage Project. Mais les défis représentés par cette interconnexion sont légion.
Si les chiffres officiels font état de 200 000 à 300 000 personnes, les Comoriens de l’étranger seraient en réalité près de 400 000 à travers le monde, dont plus de 80 % établis en France. La manne financière de ses mandats est précieuse, mais peu productive.
Alors que la reprise économique s’annonce à Abuja, le cofondateur et patron de la première banque du pays se montre confiant sur la solidité de son établissement.
Après avoir reçu un premier soutien de la Banque européenne d’investissement chiffré à 12,5 millions d’euros, la fondatrice du fonds Janngo Capital prévoit d’accompagner financièrement et stratégiquement 20 à 25 jeunes pousses d’ici 10 ans.
Échaudés par leurs difficultés passées, les établissements bancaires se contentent souvent de gérer les dépôts. Pourtant, l’économie, largement sous-financée, a impérativement besoin d’une mobilisation du secteur.
Cinq mois après avoir annoncé une réflexion stratégique sur la cession de ses parts dans des banques de détail au Burkina Faso, au Mali et en Guinée-Conakry, BNP Paribas entame des négociations serrées avec l’Ivoirien Bernard Dossongui Koné et le Burkinabè Simon Tiemtoré.
Plusieurs grandes sociétés du continent ont réalisé leur introduction en Bourse ces derniers mois. Mais elles optent toujours pour les places européennes ou américaines.
Il y a quinze ans, les Nigérians Tope Lawani et Babatunde Soyoye posaient les bases du capital-investissement en Afrique. Aujourd’hui, leur société domine toujours le secteur.
La caisse générale de retraite des agents de l’État de Côte d’Ivoire devient l’actionnaire majoritaire de la banque Oragroup. Elle succède ainsi au fonds d’investissement panafricain Emerging Capital Partners, qui était entré au capital du groupe en 2008.
La dette publique progresse de façon générale en Afrique, et la question des réserves devient essentielle, cruciale même pour des pays comme l’Algérie ou l’Égypte. Trop souvent, la politique monétaire est mal coordonnée avec la politique budgétaire.
Installé dans quatorze pays africains, le premier groupe bancaire marocain rêve d’expansion intercontinentale et se dote d’une nouvelle équipe de choc.