Avec « La Table du Nord », un livre de recettes issues des sept gouvernorats du septentrion du pays, la cheffe dévoile quelques secrets du patrimoine culinaire tunisien.
Issu de la diaspora marocaine, Omar Meziane est chargé de l’alimentation des plus grands athlètes britanniques, de la Coupe du monde aux JO, en passant par Manchester United et l’équipe nationale de cricket.
Traditionnellement implantées dans le quartier de Château Rouge, les échoppes alimentaires africaines font peau neuve. Et attirent autant la diaspora que les bobos.
Deux ans seulement après son ouverture, Cult, le restaurant bistronomique et créatif du jeune chef tunisien a trouvé sa place dans le classement des 50 meilleurs restaurants en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.
Deux sœurs sénégalaises, Louise et Justine Basse, se sont lancées dans la production de sauces africaines prêtes-à-consommer. La marque qu’elles ont créée, Mom Koumba, est un hommage à la cuisine de leur mère.
Avec ses tablettes de chocolat au gingembre, à la fleur de sel ou à la cacahuète, la pâtissière et entrepreneuse entend bien séduire au-delà de la Grande Île avec sa marque, Sambika.
À la ferme Acipenser, non loin d’Antananarivo, Georges Randrianzatouo est chargé d’une mission délicate : tester la qualité des œufs d’esturgeon avant leur commercialisation. Un don d’exception pour un mets d’exception.
Fondatrice du restaurant Mama Nissa, Hanane Abdelli est à l’origine d’un livre de recettes pensé avec sa mère, Anissa, également aux fourneaux de sa table parisienne. Un témoignage qui donne ses lettres de noblesse à une cuisine méconnue.
Les traditions culinaires sud-africaines se racontent dans des livres de recettes qui se transmettent entre générations et communautés depuis plus d’un siècle.
Manger algérien (et kabyle) dans la capitale française ? Une adresse se distingue depuis quelques années, créée par Katia Barek, avec Nora Sadki aux fourneaux !
Aux commandes du restaurant Le Marais, à Tananarive, le chef malgache multiprimé est à l’aise aussi bien avec le caviar qu’avec la brède mafane. Rencontre lors d’un vernissage à la fondation H.
Après Yemma, le chef cuisinier et restaurateur marocain ouvre une nouvelle adresse parisienne. Toujours dans l’esprit street food, il régale avec une bibliothèque de recettes inspirées de sa mère.
Fondateur du restaurant Le Plate’s en région parisienne, Pépin Kunkel régale sa clientèle française et africaine avec ses recettes. Passé par le Jules Verne et le très sélect Fouquet’s, il cumule près de 40 ans d’expérience.
À l’heure de Facebook, Twitter, Instagram et autre Pinterest, Lomé peut, en pariant sur l’infinie richesse de ses créations gustatives et artistiques, assurer le rayonnement international de sa cuisine et en tirer le plus grand bénéfice. À condition que les professionnels du secteur prennent la mesure du rôle du design et de la photographie culinaires.
Depuis son ouverture, en 2008, le « French bistrot » de Johan Gaudel met à l’honneur des plats traditionnels de France. Tout en les faisant voisiner avec la gastronomie locale.
Chef camerounais, auteur, expert en gastronomie et en sécurité alimentaire… C’est un passionné de cuisine africaine aux multiples casquettes qui s’est confié à Jeune Afrique.
À coups d’invectives et de menaces diverses, deux groupes ethniques du Cameroun tentent de s’attribuer la paternité d’un mets qui s’est amplement popularisé au fil des décennies et se retrouve dans tous les foyers du pays.
Au marché de Dantokpa, la cheffe franco-béninoise retrouve les produits qui ont bercé son enfance et dont elle parsème les recettes de Rouge, son restaurant nîmois, pour lequel elle vient d’obtenir une étoile.
Depuis une dizaine d’années, les professionnels des métiers de bouche s’intéressent de plus en plus aux recettes de « plats du Sud » parfois ancestraux.
Pour les fêtes, Jeune Afrique vous livre une sélection de recettes savoureuses. Aujourd’hui, le chef Lionel Chauvel-Maga, du restaurant de soul food Gumbo Yaya, revisite la sauce feuille.
Pour les fêtes, Jeune Afrique vous livre une sélection de recettes à réaliser facilement. Aujourd’hui, la Marocaine Yasmina Ksikes et ses choux de Bruxelles caramélisés aux canneberges.
Bizarreries dans le paysage gastronomique local, ces coquillages ont pourtant conquis le palais des Marocains, grâce à l’expansion de l’ostréiculture à Dakhla, entre mer et désert.
Le chef du restaurant « MoSuke », originaire du Mali, nous offre en dessert son « siphon de lait fermenté et noix de pécan caramélisées », inspiré du dègué (ou thiakry) d’Afrique de l’Ouest.