Retardé par des « incompréhensions » entre ses actionnaires, Africa50 et ADP, le chantier du futur terminal doit démarrer d’ici à la fin de l’année, assure Namory Camara, DG de la société d’exploitation de l’aéroport.
Les sept grandes puissances mondiales ont annoncé la création d’un fonds doté de 600 milliards de dollars. Objectif : financer des projets d’infrastructures dans les pays en développement, notamment en Afrique.
Tramways, gares, autoroutes, parc éolien, la multinationale a su se faire une place dans la concurrence au développement des infrastructures du pays. Une longévité exceptionnelle qui remonte aux années 1930.
À un an de la mise en service du Bus Rapid Transit (BRT) de Dakar, visite d’un chantier qui redessine la mobilité urbaine de l’une des principales capitales d’Afrique de l’Ouest.
Centre international de conférences, Dakar Aréna, stade Abdoulaye-Wade… La société turque a construit des projets d’envergure à Diamniadio. Ses délais records lui valent une notoriété croissante au-delà des frontières du pays.
Une enveloppe de 57 millions d’euros s’ajoute aux 113 millions déjà décaissés par la Banque africaine de développement pour financer la construction du projet portuaire.
Face à la saturation de ses capacités, le port de la capitale économique camerounaise par lequel transite l’essentiel du commerce de la région, entame son extension sur la rive gauche du Wouri.
Ayant remplacé l’italien Piccini pour achever le complexe sportif, l’entreprise est sous la pression de ses sous-traitants, qui lui réclament plus de 18 millions d’euros, et se heurte au refus de Yaoundé de payer un montant équivalent tant qu’elle ne justifie pas l’utilisation de quelque 64 millions d’euros.
En trois décennies, cet ingénieur de formation a fait d’une PME familiale un groupe côté en Bourse, considéré dans le royaume comme l’un des leaders du BTP.
Le port autonome de Douala (PAD) reprend progressivement en main des activités jusqu’à présent gérées par des groupes étrangers. Dragage, pesage, sécurité, gestion du terminal à conteneurs … À la manœuvre, Cyrus Ngo’o, le patron de l’autorité portuaire.
Focus sur les forces et faiblesses de la gestion de l’or bleu par la capitale sénégalaise, qui accueille du 21 au 28 mars le 9e Forum mondial de l’eau.
Salah Bukhatir, le président du groupe de BTP émirati éponyme, relance un projet immobilier de haut standing à cinq milliards de dollars dans la capitale tunisienne. Un dossier qui mêle le frère du président Saïed, des architectes en colère et même l’Olympique de Marseille.
Les deux institutions africaines ont lancé, en marge du sommet UE-UA, une alliance pour financer des projets de constructions durables. Objectif : lever 500 millions de dollars.
Le pays souffre d’un cruel déficit d’infrastructures, en particulier en matière de mobilité. Quelques projets, peu médiatisés pour certains mais en bonne voie de réalisation, devraient commencer à changer la donne, notamment dans le sud du pays et à Kinshasa.
L’ancienne capitale du pays (1900-1933) concentre depuis moins de dix ans une activité immobilière intense. Logements sociaux, économiques ou de haut standing foisonnent à la lisière d’Abidjan.
Jeune Afrique dévoile en exclusivité ce qui est vraiment reproché aux poids lourds français – que vient de sanctionner l’institution multilatérale – ainsi que les protagonistes de l’affaire.
L’ouverture des négociations pour la vente des actifs portuaires africains du groupe Bolloré a surpris les équipes sur le continent. Le patron de cette branche a tenu à calmer leurs inquiétudes et a promis le maintien des emplois.
Tanger Med au Maroc, Nkok au Gabon, demain Adetikope au Togo. Malgré quelques succès indéniables, le bilan industriel des zones économiques spéciales (ZES) africaines reste famélique. Une nouvelle étude coproduite par l’Africa CEO Forum dévoile les facteurs clés de réussite.
En concurrence avec le groupe nigérian Dangote, le cimentier français Vicat, en position dominante au Sénégal et présent dans plusieurs autres pays d’Afrique de l’Ouest, se refinance pour assurer son développement.
La société marocaine de construction va rejoindre la Bourse de Casablanca. L’occasion pour le capital-investisseur Mediterrania Capital Partners de récupérer du cash, et pour TGCC de poursuivre son expansion au sud du Sahara. Le décryptage de Jeune Afrique.
Chiffré à plus de 400 millions d’euros pour sa première phase, le projet de pont entre les deux capitales congolaises n’en finit pas d’être repoussé. Les bénéfices attendus – commerciaux et portuaires notamment – sont pourtant importants, pour les deux côtés du fleuve et au-delà.
Plusieurs groupes internationaux lorgnent un marché estimé à 111 milliards de dollars. Ankara pour le moment une longueur d’avance sur ses concurrents italiens, chinois et français. Mais l’instabilité politique pourrait rebattre les cartes.
Le groupe français construit pour BP la digue brise-lame qui doit protéger l’usine flottante de gaz naturel au large de Saint-Louis. Une vitrine pour décrocher d’autres contrats auprès des pétroliers.
Les groupes venus de l’empire du Milieu continuent de capter plus d’un tiers des projets d’infrastructures sur le continent. Mais leurs bailleurs de fonds se montrent de plus en plus prudents.
L’opérateur portuaire et l’investisseur britannique développeront des projets communs, dont celui du port de Ndayane au Sénégal. Mais leurs ambitions vont au-delà. L’analyse de Jeune Afrique.
Les ambassadeurs des pays membres de l’OCDE vont discuter, à Paris, d’une initiative menée par les États-Unis pour les infrastructures dans les pays en développement, perçue par beaucoup comme une riposte à la Chine. Explications.