Le conglomérat familial marocain Palmeraie annonce vouloir engager 3 milliards de dirhams – environ 275 millions d’euros – d’ici 2020 dans l’industrie, l’éducation, les mines et l’agriculture.
La branche auto du groupe familial tunisien Loukil a vu son résultat net doubler en 2015 à 15,5 millions de dinars, malgré un environnement économique difficile.
Au moment où le ministère de l’Industrie attribuait enfin les tant attendues licences d’importation de véhicules automobiles, l’annonce de la baisse du quota des importations de 152 000 à 83 000 unités d’ici au 8 novembre 2016 a assombri la reprise des activités des concessionnaires.
Même si le siège régional de Volkswagen, à Johannesburg, affirme qu’il n’a « aucun programme d’expansion en Afrique du Nord », il existe bien un projet d’usine d’assemblage pour les marques du groupe allemand en Algérie.
Le groupe nigérian espère porter sa production annuelle de ciment à 77 millions de tonnes d’ici la fin 2019, contre 43,6 millions de tonnes aujourd’hui, grâce à l’installation de nouvelles cimenteries au Nigeria et l’augmentation de sa production principalement en Afrique de l’Ouest.
Le constructeur français Renault a signé le 08 avril des partenariats avec le Maroc prévoyant environ 10 milliards de dirhams (909 millions d’euros) d’investissements en vue de bâtir une « écosystème industriel » dans le royaume. Plusieurs pans de ce projet restent encore imprécis.
Au nord du pays, l’exploitation des palmeraies a repris grâce à un investissement total de 350 milliards de francs CFA (533,6 millions d’euros) effectué par la société privée, Eco Oil Energie. Retrouvez les coulisses et les objectifs de la filière dans l’émission « Réussite », co-produite par le Groupe Jeune Afrique, Canal + Afrique et Galaxie Presse.
Le constructeur automobile américain a annoncé un investissement de 170 millions de dollars pour son usine d’assemblage de Pretoria, d’après un communiqué de presse du groupe publié le 5 avril. Des exportations vers l’Afrique subsaharienne sont également envisagées.
Les Pays-Bas viennent d’infliger une pénalité à l’entreprise Fibois, accusée de n’avoir pas exercé une « diligence raisonnée » sur la légalité du bois d’origine camerounaise acquis auprès de la Compagnie de commerce et de transport (CCT). Laquelle se trouve dans le viseur de Greenpeace. Les autorités camerounaises s’insurgent.
Le magnat nigérian Aliko Dangote, présent dans l’agro-industrie et le ciment notamment, négocie avec le géant marocain pour la fourniture en phosphates d’une nouvelle usine d’engrais.
Après cinq ans de préparation, l’unité construite à Kano, au Nord du Nigeria, a commencé sa production cette semaine – avec l’objectif de limiter les pertes des agriculteurs locaux et les importations chinoises.
Confirmant une information de « Jeune Afrique » d’octobre 2015, le groupe français de fromages a annoncé que cette usine de poche produit, depuis décembre 2015, 100 000 portions de Vache qui rit par jour.
La Société nationale des tabacs et allumettes du Mali (Sonatam) compte investir 7 milliards de F CFA (10,67 millions d’euros) pour moderniser et accroître ses unités de production. L’entreprise publique négocie un accord avec British American Tobacco pour la fabrication locale de la marque de cigarettes Dunhill.
Une explosion d’origine indéterminée sur le site pétrolier d’Obangue-Est, dans le sud-ouest du Gabon, a fait un mort et six blessés, dont quatre graves, samedi.
Le groupe agro-industriel Société ivoirienne de productions animales (Sipra), fondé par Jean Marie Ackah, a investi 5 milliards de FCFA (environ 7,6 millions d’euros) dans ce projet.
Le président zimbabwéen a annoncé sa volonté de nationaliser les mines de diamant pour permettre au pays de profiter pleinement de ces ressources, actuellement exploitées en grande partie par des compagnies étrangères.
Jeffrey Immelt, PDG du géant américain General Electric, s’est rendu le 2 mars à Abidjan, pour l’ouverture de premier bureau en Afrique de l’Ouest francophone.
Le conglomérat Cevital se prépare à la production d’automobiles à travers sa nouvelle filiale Algérie Auto Industries qui a rejoint le pôle Automotive dirigé par Omar Rebrab, fils du fondateur du groupe algérien Issad Rebrab.
« OCP Africa » a été présenté à Marrakech, trois semaines après l’inauguration d’une usine d’engrais qui constitue la première étape d’un ambitieux plan d’expansion sur les marchés africains.
La dernière étape de la visite du Medef, le patronat français, au Maroc, les 10 et 11 mars, passait par Kénitra. À 50 km de la capitale marocaine, l’Atlantic Free zone, la zone franche dédiée à l’industrie automobile, est en plein développement dans le sillage de l’arrivée de Peugeot Citroën (PSA) qui, à compter 2019, veut y produire à terme jusqu’à 200 000 véhicules par an.
Ces projets, conduits par le producteur national de phosphates OCP, prévoient l’installation d’une usine d’engrais, ainsi que d’infrastructures portuaires et industrielles près de Laâyoune.
Avec le réchauffement climatique, le continent semble promis au pire : sécheresses, montée des eaux, crises alimentaires… À moins qu’il n’en profite pour devenir un champion du développement durable ?
Après dix jours de bras de fer administratif, l’entreprise algéro-espagnole de fertilisants Fertial a obtenu les autorisations d’exportation, permettant ainsi la « réouverture de l’usine » fermée depuis le 25 janvier, a annoncé à « Jeune Afrique », Stéphane Dieudé, directeur général de Fertial.
Le roi Mohammed VI a inauguré le 1er février l' »Africa Fertilizer Complex », une usine d’engrais située sur le complexe de Jorf Lasfar, sur la côte Atlantique du royaume. D’un coût estimé à 488 millions d’euros, sa production annuelle de 1 millions de tonnes est destinée aux pays d’Afrique subsaharienne.
Opérationnelle depuis novembre dernier, la raffinerie d’or du groupe suisse, unique en Afrique de l’Ouest, voit son monopole au niveau national remis en cause par le ministère des Mines.