Le quota d’importation de véhicules en Algérie a été fixé à 152 000 unités en 2016. C’est environ la moitié du nombre de voitures importés en Algérie l’année dernière.
Un pool bancaire international, composé de la Société financière internationale (IFC), filiale de la Banque mondiale, et du français Société générale, a apporté 45,9 milliards de F CFA à Sofitex. Ces ressources doivent permettre au numéro un de la filière de produire 580 000 tonnes en 2016.
Le groupe aéronautique canadien Bombardier, en profonde restructuration, a mis fin mercredi à son partenariat avec TAG Aeronautics, chargé depuis 1977 de commercialiser ses avions d’affaires dans 21 pays en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.
La structure de défaisance Amcon, principal actionnaire du producteur automobile nigérian dont Peugeot est le partenaire technique, entend céder ses parts. Les acquéreurs ont jusqu’au 26 janvier pour déposer leurs offres.
À 500 mètres de sa première usine dans la zone franche de Tanger, le groupe aéronautique français monte une nouvelle chaîne de production. Une unité qui devrait fabriquer, entre autres, les composantes de l’Airbus A320.
Comment désembourber le dossier Alucam ? Voilà plus d’un an que l’État camerounais ne parvient pas à trouver un repreneur pour les 47 % de l’usine d’aluminium d’Édéa, près de Douala, dont Rio Tinto Alcan s’est désengagé. Début janvier 2016, c’est le groupe financier Lazard qui a été retenu pour trouver le successeur.
Selon le ministre algérien de l’industrie, environ 300 000 véhicules ont été importés dans le pays en 2015, contre environ 440 000 en 2014 et 554 000 en 2013.
Prévus depuis 2013, les travaux du pôle industriel de textile de Relizane, réalisés dans le cadre d’un partenariat algéro-turc, ont démarré, a annoncé le 28 décembre Abdeslam Bouchouareb, le ministère algérien de l’Industrie. Les travaux doivent durer 36 mois.
Trois ans après être entré dans le capital de Dangote Flour Mills, le géant sud-africain jette l’éponge. Et pour cause : sa filiale n’a enregistré que des pertes.
Mi-février, le constructeur de camions MAN inaugurera une chaîne de montage à Mekele, dans le nord du pays, qui a terme devrait produire 1 000 véhicules par an. L’Éthiopie devient ainsi l’un de ses plus gros marchés africains.
Lors du Sommet sino-africain de Marrakech, fin novembre, bon nombre de patrons chinois sont venus évaluer ce qu’ils gagneraient à s’implanter au Maroc.
Inaugurée à Sétif le 19 décembre, l’usine produira du papier ouate ensuite utilisé comme matière première du papier toilette, des serviettes en papier, des couches bébé, des couches pour adultes et des serviettes hygiéniques commercialisés par Faderco.
Implantée à Thiès, la filature a relancé ses activités en août après dix ans d’arrêt. Alors que son carnet de commandes se remplit, elle se modernise en investissant plus de 5 millions d’euros.
La filière bénéficiera d’un grand coup d’accélérateur avec le méga-projet de Kpémé, attribué en septembre à l’israélien Elenilto et à son partenaire chinois Wengfu.
La filiale LaTelec du groupe, spécialisé dans la sous-traitante aéronautique, ouvre une unité de fabrication dans la banlieue de Casablanca. Sa première au Maroc. Elle emploiera 300 personnes en 2018. Montant de l’investissement annoncé : 10 millions d’euros sur 5 ans.
En négociation depuis plus d’un an, un accord entre les banques, les détenteurs de billets de trésorerie et les actionnaires de la société a été finalement conclu. Le plan de restructuration de la dette est donc définitivement arrêté, mais le sauvetage du sidérurgiste marocain n’est pas acquis pour autant.
La Nouvelle Société textile sénégalaise, ancien fleur national, modernise son outil de production et entend tripler sa force de travail, a appris « Jeune Afrique. »
Afin d’enrayer la percée de son concurrent Source du Pays sur ce marché convoité, la filiale du groupe Castel a mis en service une nouvelle chaîne d’embouteillage, le 27 novembre à Garoua.
Le capital-investisseur panafricain a pris une part minoritaire dans le capital de la filiale africaine du distributeur automobile portugais Salvador Caetano qu’il devrait appuyer dans son développement en Afrique subsaharienne.
Ce contrat est estimé à 200 millions de dollars. Le constructeur automobile indien planche également sur l’implantation d’un centre de distribution dans le pays.
Se démarquant de l’offre asiatique, le constructeur allemand de poids lourds pousse ses pions sur le continent. À commencer par l’implantation d’une usine de montage dans la première économie africaine.
Le groupe allemand consolide sa présence, multiplie les points de vente et diversifie ses offres.
De quoi séduire un marché difficile mais prometteur. Et réduire l’écart avec les favoris d’autrefois.