Les autorités sud-africaines de la concurrence ont imposé cette amende à la filiale du métallurgiste européen, pour avoir participé à une entente visant à imposer un prix excessif pour l’acier vendu dans le pays.
Qui pour remplacer Rio Tinto Alcan au capital l’usine d’aluminium d’Édéa ? Après une revue des actifs par la banque Lazard, un premier prospectus a été envoyé au Japon et au Moyen-Orient notamment. D’autres investisseurs pourraient être sollicités en septembre, selon les informations de « Jeune Afrique ».
Dans une interview exclusive accordée à « Jeune Afrique », Jean-Claude Mimran, le propriétaire de la Compagnie sucrière sénégalaise et des Grands moulins de Dakar et d’Abidjan, détaille les récentes ambitions de son groupe dans les mines d’or et de phosphates en Afrique.
La Banque africaine d’import-export (Afreximbank) et son homologue chinoise (Exim Bank of China) s’engagent à apporter jusqu’à 1 milliard de dollars de financement pour le développement de parcs industriels à travers le continent. Une initiative dénommée « China-Africa Investment and Industrialization Programme ».
Le distributeur panafricain a signé un nouvel accord de licence pluriannuel avec Avis Car Rental, a-t-il annoncé jeudi. Cet accord couvre une quinzaine de pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale.
Le conglomérat Indorama, déjà présent au Sénégal et au Nigeria, a signé trois accords d’investissements avec les groupes publics algériens Asmidal (engrais) et Manal (mines) pour l’exploitation et de transformation de phosphates, pour un coût total estimé à 5,4 milliards de dollars.
La nouvelle usine de ciment de Sigus nécessitera un investissement de 51 milliards de dinars (415 millions d’euros) du Groupe industriel de ciments d’Algérie (Gica), le commanditaire public. C’est Thysenkrupp Industrial Solutions, division du groupe allemand ThyssenKrupp AG, qui a été retenu pour la réalisation de la ligne de production « clé en main ».
«Il y a trois ans, nous subissions des pertes et gardions des stocks d’invendus importants. Aujourd’hui, c’est moins le cas », se félicite le Français Alexandre Zanna, directeur général de la Société nouvelle huilerie et savonnerie (SN-Citec), contrôlée par le groupe Geocoton (52,94 %).
Neuf Conseils des ministres. Neuf décisions portant sur la filière coton. Contrairement à ce qu’il avait laissé entendre pendant la campagne électorale, le nouveau président béninois, Patrice Talon, semble réserver un traitement particulier au secteur qui a fait sa fortune. Et certaines de ces mesures l’avantagent directement.
Lorsqu’il a inauguré Batex-CI en 2005, sur les cendres de l’ancienne Itema (Industrie textile du Mali), le Malien Bakary Cissé, basé en Côte d’Ivoire, misait essentiellement sur le tissage et entendait réaliser 23 millions de mètres de tissu par an.
Après avoir gagné en popularité, les labels de bonne gestion forestière ont du mal à passer un nouveau cap. Avantages, inconvénients, alternatives : décryptage avec le spécialiste du Cirad.
Lors d’une cérémonie présidée par le roi Mohammed VI, Moulay Hafid Elalamy, le ministre marocain de l’Industrie, a présenté les grandes lignes de son nouveau plan de réforme de l’investissement. Une dizaine de conventions ont été également signées pour 30 projets totalisant 7,5 milliards de dirhams d’investissements (680 millions d’euros), notamment dans l’automobile et l’aéronautique.
Pour activer une convention signée, lors de la visite de Mohammed VI à Pékin en mai dernier, une délégation d’hommes d’affaires et de représentants du gouvernement chinois a fait le déplacement au Maroc. Au menu des discussions : la création d’une cité industrielle et résidentielle à Tanger, dans le nord du royaume.
Un gisement de manganèse prometteur, une première industrie locale de transformation et maintenant une Ecole des Mines : en dépit du recul des cours des matières premières, le français Eramet joue la carte de l’ancrage « stratégique » à long terme au Gabon face à la concurrence croissante de la Chine.
La capitale économique ivoirienne abritera fin octobre un salon international de l’automobile, symbole du renouveau d’un secteur durement affecté par la crise des années 2 000.
En soumettant l’importation de véhicules à un système de quotas, l’État veut inciter les groupes internationaux à produire davantage sur place. Car, pour l’instant, le secteur patine.
Robustesse, esthétisme, confort, notoriété de la marque ou service après-vente… À chacun ses critères d’achat. « Jeune Afrique » a rencontré quatre automobilistes pour savoir ce qui a été déterminant dans leurs choix.
En février, le groupe allemand a inauguré un centre régional à Nairobi. De là, Rajaram Krishnamurthy doit doper les ventes de camions dans 41 pays d’Afrique de l’Est, d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale.
Le français Renault, au coude-à-coude sur le continent avec ses principaux concurrents, veut se renforcer sur les marchés à fort potentiel : Nigeria, Angola, Kenya… Avec quelles stratégies commerciales et industrielles ?
Deux ans après le rachat du groupe électroménager Brandt par le conglomérat algérien Cevital, les usines de Sétif, à l’est du pays, exportent 90 % de leur production vers 50 pays. Et la cadence va s’accélérer avec l’entrée en production d’un second site a annoncé, mercredi, Sergio Treviño, PDG du groupe Brandt.
Le groupe Midea s’est porté acquéreur de 30% du capital de Kuka, le géant allemand de la robotique industrielle. « L’usine du monde » devient le temple de la production automatisée. Au détriment de l’emploi.
À 68 ans, le fondateur du holding NBG, qui s’est bâti un empire dans la fabrication et la distribution de produits de première nécessité, passe progressivement la main à ses fils.
La Société d’articles hygiéniques (SAH), spécialiste des produits d’hygiène pour femmes et bébés via sur sa marque Lilas, a connu un « saut qualitatif important » en 2015, selon les termes d’Adel Grar, administrateur de la compagnie, avec une nette amélioration de ses résultats.