Retirée de la vie politique, l’ex-ministre de François Hollande participe au sommet de Paris comme représentante d’une ONG. Elle appelle les pays du Nord à davantage de solidarité avec le Sud. Et déplore par ailleurs la dégradation des relations entre la France et le Maroc.
Les créanciers, Chine et pays occidentaux, sont parvenus à un accord pour restructurer une partie de la dette de la Zambie, à Paris, en marge du sommet pour un nouveau pacte financier.
Le juge en charge du dossier de ce scandale de corruption à deux milliards de dollars réfléchit à stopper net la procédure à cause d’un vice de forme, trois mois avant l’ouverture du procès.
À l’occasion du sommet pour un nouveau pacte financier mondial, les contours d’une réforme des bailleurs internationaux, nés des accords de Bretton Woods, se dessinent. Explications.
Le pays s’est engagé lors du sommet pour un nouveau pacte financier mondial à compter 40 % d’énergies renouvelables dans son mix énergétique à l’horizon 2030. Il sera aidé financièrement à hauteur de 2,5 milliards d’euros par la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Canada et l’Union européenne.
Un accord entre créanciers occidentaux et chinois pourrait arriver dans la semaine, selon une source au sein du Club de Paris. Le groupe informel se réunit le 21 juin, à la veille d’un sommet pour un nouveau pacte financier qui doit se tenir dans la capitale française.
L’agence de notation Moody’s alerte sur l’arrivée à échéance de certains prêts, notamment chinois, dans un marché où les conditions de financement sont dégradées. Explications.
L’aide publique au développement et les réductions de dette n’atteignent pas leurs objectifs, elles sont coûteuses pour les contribuables et exonèrent les pays débiteurs de leurs responsabilités économiques et sociales envers leurs populations. Il est temps, malgré les nombreuses objections que cela soulève, de revoir de fond en comble leur fonctionnement.
La Banque centrale a décidé de lever son véto qui touchaient les banques de l’Uemoa. La décision intervient moins de deux mois après la dernière hausse des taux.
Plus de transparence, de coopération chinoise et d’aides financières de la part des banques de développement… Lors des réunions de printemps de la Banque mondiale et du FMI, différentes requêtes ont été formulées par les pays pauvres afin de restructurer leurs dettes. Jeune Afrique fait le point.
Les créanciers bilatéraux du Ghana doivent se réunir sous l’égide du Club de Paris, mardi 11 avril, pour discuter d’un plan de restructuration de la dette du pays. Une rencontre scrutée de toutes parts car, sans réaménagement de ses arriérés, Accra ne pourra pas bénéficier de l’aide promise par le FMI.
Marqué par un ultra dynamisme ces douze derniers mois, le marché de l’Union économique et monétaire souffre néanmoins de sorties décevantes en valeur. Quel mécanisme régit ce marché spécifique, qui en sont les acteurs, pourquoi un tel engouement ? Les explications de Jeune Afrique.
Inflation, ralentissement de la croissance, rupture des chaînes d’approvisionnement : à peine remis des effets de la pandémie, le continent plie mais ne rompt pas. Pour le moment.
Proche de Donald Trump, accusé de climato-scepticisme ou, parfois, d’être un adversaire du multilatéralisme, David Malpass quittera ses fonctions à la tête de la Banque mondiale en juin, soit un an avant la fin de sa mission. Au bout de ses quatre années de mandat, quel est le bilan de l’institution en Afrique ?
En défaut de paiement depuis 2020, la Zambie peine à convaincre la Chine de restructurer sa part de la dette qui s’élève à plus de 6 milliards de dollars. Alors qu’aucun accord n’a été conclu, Pékin appelle les créanciers multilatéraux à se joindre à l’effort.
Climat, terrorisme, crise économique, FMI, Zlecaf et banques africaines… Invité de Jeune Afrique et RFI lors de l’AFIS, le ministre togolais de l’Économie et des Finances livre son analyse des dossiers chauds du moment.
Baisse astronomique de leur valeur, irrégularité, fragile stabilité… En 2022, les monnaies africaines tremblent. État des lieux d’une tendance conjoncturelle, qui pourrait encore se renforcer.
En Afrique, les déséquilibres macroéconomiques atteignent des niveaux jamais vus depuis plusieurs décennies. Pourtant, certains pays s’en sortent mieux que d’autres. Décryptage à la lumière du dernier rapport du FMI.
Ce 16 octobre, le Parti communiste chinois doit reconduire à sa tête son secrétaire général, lui ouvrant la porte à un troisième mandat présidentiel. Mais derrière cette continuité, des réformes s’imposent dans un pays en proie à des difficultés.
Premier pays africain à être entré en défaut de paiement vis-à-vis de ses créanciers extérieurs – Chine en tête – en pleine pandémie de Covid-19, la Zambie obtient finalement une enveloppe conséquente du FMI.
Auprès de qui l’Afrique est-elle endettée ? Chine, Banque mondiale, Club de Paris, créanciers privés… Alors que Pékin vient d’annoncer son intention d’annuler les prêts accordés à 17 États du continent, Jeune Afrique fait un état des lieux des pays débiteurs, en infographies.
En plus d’annuler le remboursement de prêts accordés à 17 pays africains, Pékin veut renforcer son soutien aux secteurs agricole et manufacturier sur le continent et mettre en place une aide alimentaire.
« L’Afrique est-elle vraiment malade de sa dette ? » (4/4). Dans une note récente, le FMI met en garde contre l’interdépendance croissante entre banques et États. Une relation qui pourrait entretenir « un cercle vicieux » en ces temps de crise, selon l’institution de Bretton Woods.
« L’Afrique est-elle vraiment malade de sa dette ? » (3/4). Si le niveau d’endettement extérieur des pays a connu une très nette hausse depuis 2015, tous ne sont pas logés à la même enseigne. Leurs capacités à y faire face diffèrent grandement. Analyse.
Les conséquences économiques de la crise du Covid ont relancé les craintes sur l’endettement des pays africains. Cet alarmisme est-il justifié ? Enquête.
« L’Afrique est-elle vraiment malade de sa dette ? » (1/4). Alors que le nombre de pays africains en risque de surendettement a doublé depuis la survenue du Covid-19, seuls trois d’entre eux ont opté pour une restructuration de leur passif. Parallèlement, les émissions d’eurobonds se sont poursuivies. Le signe d’une nouvelle maturité ?
À l’approche des législatives, le chef du gouvernement dresse le bilan de sa première année passée à la primature. Et détaille les actions qu’il devra rapidement engager pour remettre le pays sur les rails du développement.