Depuis l’attaque du Hamas en Israël, le 7 octobre dernier, et les représailles de Tsahal sur la bande de Gaza, plusieurs sportifs se sont exprimés sur les réseaux sociaux, le plus souvent pour témoigner de leur solidarité envers la Palestine et appeler à la paix. Certaines déclarations ont beaucoup fait réagir.
Ce 22 octobre, le TP Mazembe n’affrontera pas l’Espérance Tunis dans son stade de Lubumbashi mais recevra son adversaire… en Tanzanie. Le club de Moïse Katumbi accuse le gouvernement congolais de chercher à lui nuire.
En France, une sénatrice demande que la nationalité française du footballeur Karim Benzema lui soit retirée, pour lien présumé avec les Frères musulmans, proches du Hamas.
L’international algérien, qui évolue à l’OGC Nice, a partagé sur Instagram la vidéo d’un prédicateur de Gaza. Il est maintenant visé par une enquête préliminaire pour « apologie du terrorisme ».
C’est drapé de ses habits de coach adjoint que l’ancien milieu de terrain ivoirien exprime le souhait de voir davantage de managers noirs dans le football de haut niveau.
Les Lions indomptables seront opposés à la Russie en match amical de football, jeudi 11 octobre, à Moscou. Mais les joueurs et le staff technique ont dû effectuer un voyage tardif, long et mal préparé.
Carton plein pour le Maroc. Une semaine après s’être vu attribuer l’organisation de la CAN 2025, le pays des Lions de l’Atlas a été choisi pour coorganiser la reine des compétitions de football.
La veille de l’attribution de l’organisation des Coupes d’Afrique des nations 2025 et 2027, l’Algérie, candidat sérieux, a surpris tout le monde en annonçant son désistement. Pourquoi et comment cette décision a-t-elle été prise ?
La Confédération africaine de football (CAF) a tranché : c’est bien le Maroc, grand favori depuis des mois, qui accueillera la phase finale de la Coupe d’Afrique des nations 2025. Pour l’édition de 2027, c’est le trio Kenya-Ouganda-Tanzanie qui l’a emporté.
C’est un coup de théâtre, un de plus : alors que l’annonce des pays qui accueilleront les deux prochaines éditions de la Coupe d’Afrique des nations est prévue pour le 27 septembre, l’Algérie – qui comptait parmi les favoris – se désiste.
Dans une tribune envoyée à la Fifa et à la Confédération africaine de football, des acteurs du football camerounais dénoncent le « silence » et la « complicité » de ces instances face aux accusations qui pèsent sur le président de la Fecafoot.
En Côte d’Ivoire, l’inondation de la pelouse du stade Alassane-Ouattara, à la suite de pluies diluviennes, vire à la crise politique. Dès le lendemain, le chef de l’État a convoqué une réunion d’urgence, tout comme le Premier ministre, Patrick Achi.
Le 12 septembre, le match amical entre la Côte d’Ivoire et le Mali a été interrompu pour cause de pelouse inondée par la pluie. De quoi raviver les inquiétudes sur les capacités du stade Alassane-Ouattara à accueillir les principaux matchs de la CAN 2024.
Tous les bonus reçus par les membres de l’équipe nationale de football jusqu’à la prochaine CAN iront aux sinistrés du tremblement de terre d’Al Haouz, apprend-on par un communiqué officiel.
Le Cameroun devra battre le Burundi, le 12 septembre à Garoua, s’il veut participer à la prochaine CAN en Côte d’Ivoire. Les Lions indomptables pourront compter sur leur gardien André Onana, dont le retour doit beaucoup à quelques interventions politiques.
Le 6 septembre, le magazine mensuel France Football a publié la short-list des footballeurs qui restent en lice dans l’attribution du prochain Ballon d’or. L’Afrique y dénombre ses ressortissants.
Les relations entre la Fédération tunisienne de football (FTF) et l’Espérance sportive de Tunis, d’habitude plutôt apaisées, se sont brusquement tendues en raison d’un litige financier.
Après s’être produit au Festival international Nuits d’Afrique, au Canada, le chanteur évoque la politique ivoirienne et internationale, la mort d’Henri Konan Bédié, le football et, bien sûr, la musique.
Incarcéré depuis le 9 août, Mamoutou Touré a quand même été réélu à la présidence de la fédération malienne de football (Femafoot). Une situation inédite, que déplorent ses opposants.
La rencontre entre les deux pays prévue le 9 septembre ne présente aucun enjeu sportif, le Sénégal étant qualifié et le Rwanda éliminé. Mais elle a déclenché de vives tensions entre les fédérations.
Alors que la Confédération africaine de football ouvre une enquête sur le président de la Fecafoot, le Tribunal arbitral du sport a rendu une série de décisions le concernant. Jeune Afrique fait le point sur les affaires qui cernent l’ancien international.
Le 11 août, le Paris Saint-Germain et la société algérienne Yassir ont annoncé la signature d’un contrat de partenariat pour trois saisons. Il rapportera au total 15 millions d’euros au PSG.
La Confédération africaine de football (CAF) a ouvert une enquête sur le président de la Fecafoot pour « comportement inapproprié ». Dans une autre affaire, le Tribunal arbitral du sport a rendu une décision défavorable à l’ancien footballeur. Pour Eto’o, décidément, la période est compliquée.
Élevé au rang de patriarche du village d’Etoudi depuis son retour au Cameroun, l’ancien tennisman n’a cessé de gagner en influence auprès de Paul Biya. Au point de devenir l’un des atouts de son pays dans ses relations avec la France.
Sous Sékou Touré, le Hafia Football Club a été sacré trois fois champion d’Afrique. Ses victoires étaient celles de la Révolution et favorisaient l’apaisement… autant que ses défaites pouvaient conduire en prison.
Club le plus populaire de Côte d’Ivoire, l’Association sportive des employés de commerce (Asec), fondée en novembre 1948 par des fonctionnaires et hommes d’affaires de différentes nationalités, a été au cœur des intrigues politiques des dernières décennies.
À 20 ans, Eduardo Camavinga porte les maillots de l’équipe de France et du Real Madrid, le plus grand club du monde. Mais son histoire, racontée dans « Bleu solaire », a débuté dans l’enclave angolaise du Cabinda, où le prodige est né de parents ayant fui la guerre civile en RDC.
Le président de la Ligue de football professionnel accuse l’Établissement public de télévision (EPTV), qui détient les droits de diffusion du championnat de Ligue 1, de ne lui avoir rien versé depuis quatre ans.