Après avoir reçu un premier soutien de la Banque européenne d’investissement chiffré à 12,5 millions d’euros, la fondatrice du fonds Janngo Capital prévoit d’accompagner financièrement et stratégiquement 20 à 25 jeunes pousses d’ici 10 ans.
Trois ans après sa création, la start-up tunisienne, basée à Tunis, a levé plus de 2,2 millions de dinars (761 000 euros). Elle permet à ses clients d’ajuster leur offre à la concurrence sur le web.
La start-up casablancaise se distingue depuis 2014 sur le marché national des VTC, avec un service haut-de-gamme qui séduit une clientèle professionnelle et des investisseurs de haute volée.
En deux ans à peine, la société créée par Onyeka Akumah a récolté 7 millions de dollars, qui ont permis de financer près de 8 000 fermiers au Nigéria. Un modèle qui a convaincu l’accélérateur américain Techstars auprès duquel la start-up a levé 1 million de dollars, et qui sera bientôt étendu au Mali et au Ghana.
Lancée il y a quatre ans, la start-up sud-africaine Aerobotics, présente dans une dizaine de pays, propose aux fermiers une analyse détaillée de l’état de leurs cultures.
Lancé officiellement en 2016, ce « Buzzfeed africain » revendique 4,5 millions de lecteurs mensuels. Après avoir conquis le Kenya et le Nigeria, l’entreprise ghanéenne a encore faim.
Après des années chez Jumia, l’entrepreneuse sénégalaise de 30 ans vient de créer Janngo, un start-up studio pour faciliter, via la tech, le quotidien des PME et des consommateurs africains. Au mois de mai, l’entreprise a obtenu une levée de fonds d’1 million d’euros, ce qui lui a permis de créer sa toute première plateforme.
Créée fin 2016, la start-up nigériane spécialisée dans les services financiers digitaux a déjà accordé, via sa plateforme digitale, plusieurs milliers de prêts à des TPE et PME.
Lancé il y a six ans au Kenya, ce service de musique en ligne compte aujourd’hui 3,5 millions d’utilisateurs mensuels sur le continent. Et ne compte pas s’arrêter là.
Lancée en 2015 comme plateforme de transfert d’argent, la jeune pousse sénégalaise Wizall a fait évoluer son modèle pour devenir un outil de mobile banking à part entière.
Deux ans et demi après sa création par Odunayo Eweniyi, Somto Ifezue et Joshua Chibueze, la fintech Piggybank revendique 100 000 utilisateurs qui ont épargné au total 12 millions d’euros. Un succès qui répond à une nécessité pour la classe moyenne africaine : mettre de côté pour les difficultés du quotidien.
La start-up tunisienne créée en 2011 et spécialisée dans la biotechnologie entre en activité ce jeudi. Le procédé d’extraction utilisé, au CO2 supercritique, est une première en Tunisie.
Après avoir dompté son marché domestique estimé à 800 tonnes par jour, la jeune pousse, fondée en 2013 par Edem D’Almeida (36 ans), a bouclé début octobre la levée de près d’un million d’euros pour implanter une filiale au Bénin, première étape de son expansion régionale.
Avec une levée de fonds de 16 millions de dollars en septembre, Yoco ne semble pas souffrir du climat morose qui règne sur l’économie sud-africaine entrée récemment en récession. Lancée en 2015, elle revendique déjà près de 30 000 clients.
La start-up tunisienne, qui affiche déjà un portefeuille clients de quelque 4 000 entreprises, a récemment signé un partenariat commercial avec Uber et prépare sa deuxième levée de fonds.
Depuis la création de leur startup, en 2016, les Ghanéens Charles Ofori Antipem et Michael Asante-Afrifa raflent tous les prix d’innovation. Cette reconnaissance, couplée à un succès commercial mondial, leur ont permis de rapidement grandir et embaucher.
Arrivée au Bénin en mars 2017 et au Burkina Faso en février 2018, la jeune pousse Qotto installe des dispositifs photovoltaïques en milieu rural, financés selon un système de leasing auprès des clients. Un projet qui lui a valu de lever 1,5 million euros auprès de business angels.
Fondée en Belgique par un ancien du laboratoire pharmaceutique américain Bristol-Myers Squibb, Emmanuel Blin, la jeune pousse lancera le 4 octobre à Dakar ses activités en Afrique de l’Ouest.
La société Swiver propose une plateforme en ligne permettant d’avoir accès en quelques clics et en temps réel aux principales tâches de planification des entreprises. Un gain de temps qui permettrait d’inclure plus largement artisans et TPE dans le tissu économique de leur pays.
Lancée en 2015, la start-up burkinabè spécialisée dans la confection artisanale d’emballages en papier affirme avoir permis de remplacer au moins 150 000 sachets plastique. L’entreprise compte désormais franchir un nouveau palier : étendre son rayon de distribution au Mali et au Niger.
L’application Wala, lancée en avril dernier, permet aux utilisateurs de transférer de l’argent gratuitement de téléphone portable à téléphone portable. Présents en Afrique du Sud, en Ouganda et au Zimbabwe, ses concepteurs ont de grandes ambitions : « Pousser une population entière à passer de l’argent liquide au digital ».
Des cotisations en ligne, via le mobile monnaie, mais aussi des micro-prêts et des produits d’assurance : c’est ce que propose la fintech lancée en 2016 au Sénégal par le Nigérian Bernie Akporiaye.
Lors de son passage par l’incubateur La Fabrique l’entreprise ouagalaise Agro Deo Gracias, initialement fondée pour commercialiser des boissons (produits laitiers, eau en sachet, jus…), a revu sa stratégie marketing et s’est réorganisée autour des seuls jus de fruits de saison, 100 % naturels.
Au Burkina, FasoPro, qui commercialise criquets et chenilles cuisinés, est aujourd’hui reconnue comme l’une des start-up les plus florissantes et les plus primées du pays. L’assurance et la démarche marketing de son fondateur y sont pour beaucoup.
Malgré le vide juridique qui entoure le secteur et le manque de financement des jeunes entreprises, Guiddini emploie aujourd’hui seize personnes et son activité englobe la vente sur internet, l’aide au développement de plateformes e-commerce et l’intégration des moyens de paiement en ligne pour les professionnels
Le service mobile M-Makiti renseigne, au jour le jour, paysans et consommateurs sur le cours des produits agricoles de grande consommation ou les semences en Guinée. Épaulés par Orange, et accompagnés par le gouvernement, ses cofondateurs Mamadou Bah et Thiam Oumar, débordent de projets.
Exportunity est une plateforme de e-commerce qui offre des espaces de vente en ligne et permet de vérifier les transactions. Déjà déployée au Bénin et au Togo, l’entreprise ambitionne de se lancer dans une vingtaine de pays d’ici cinq ans.
Textes de lois, décisions de justice, annuaire des professionnels du droit, vidéos didactiques, etc. Le site internet lancé en 2016 par Nafissatou Tine, Franco-Sénégalaise de 34 ans, veut être le Westlaw ou le Dalloz.fr africain.
Enova Robotics est le seul fabriquant de robots intelligents en Afrique. Dans le monde, les concurrents directs se comptent sur les doigts d’une main. Le dirigeant, Anis Sahbani, voit donc grand et vient de réaliser la plus importante levée de fonds en Tunisie pour une start-up.
La start-up sénégalaise a obtenu en mars une subvention de 184 millions de francs CFA de la GSMA, l’association mondiale des opérateurs, pour le développement de Townpay, sa solution de paiement qui permet aux communes d’automatiser et de numériser la perception des impôts locaux.